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Bien reçu Marie. Si la terrasse est en partie sur le sous-sol, vous pouvez faire une sorte de petite cheminée qui déboucherait dans un coin. Et dans votre cas, il en faudrait deux pour assurer une circulation d'air.
A priori, il y aurait des solutions. De toutes façons, il en faut.
A priori, il y aurait des solutions. De toutes façons, il en faut.
25 mai 2013 à 10:56

Bonjour. Vous n'avez pas le choix, il faudra creuser sur les trois mètres s'il le faut. Si c'est de la terre, certes ce sera difficile, mais possible. Dans le béton, il faudra être imaginatif pour trouver une solution faisable.
Il vaudrait mieux que la ventilation soit naturelle plutôt que forcée avec un groupe VMC.
En gros il faut une arrivée d'air et un ou des départs.
Il vaudrait mieux que la ventilation soit naturelle plutôt que forcée avec un groupe VMC.
En gros il faut une arrivée d'air et un ou des départs.
25 mai 2013 à 09:51

Bien reçu. Mais attendez vous à devoir répondre aux question suivantes :
Pourquoi faut-il un fusible de 0,3 A (zéro virgule trois) à l'entrée, et qu'est-ce que cette entrée ?
De même, à quoi sert le fusible de 3 A ?
Que représentent pour vous l'entrée et la sortie de l'interrupteur crépusculaire tel que vous l'écrivez ?
C'est écrit avec un t (cela fait-il écrise ou écrite ?) Une règle simple que vous n'oublierez pas.
Pourquoi faut-il un fusible de 0,3 A (zéro virgule trois) à l'entrée, et qu'est-ce que cette entrée ?
De même, à quoi sert le fusible de 3 A ?
Que représentent pour vous l'entrée et la sortie de l'interrupteur crépusculaire tel que vous l'écrivez ?
C'est écrit avec un t (cela fait-il écrise ou écrite ?) Une règle simple que vous n'oublierez pas.
23 mai 2013 à 18:55

Bonjour.
Or, ce n'est pas le cas.
Dans le cas fréquent d'une vasque sans trou anti-débordement, soit on met une bonde à écoulement libre, ou mieux, une bonde du type "up and down aussi appelée "clic-clac" ou "push up ou à clapet". Cela permet de remplir la vasque et de la vider. Il faut juste faire un peu attention.
Citation :Raisonnement par l'absurde : si c'était obligatoire, on en trouverait sur toutes les vasques.
Un trou anti-débordement est-il obligatoire pour un lavabo ?
Or, ce n'est pas le cas.
Dans le cas fréquent d'une vasque sans trou anti-débordement, soit on met une bonde à écoulement libre, ou mieux, une bonde du type "up and down aussi appelée "clic-clac" ou "push up ou à clapet". Cela permet de remplir la vasque et de la vider. Il faut juste faire un peu attention.
22 mai 2013 à 22:58

Bonjour réponse 17. Vous pouvez trouver le principe du variateur pour lampes à incandescence en faisant une recherche sur le net avec "gradateur à réglage de phase".
La tension instantanée n'est pas écrêtée.
Le variateur basique n'utilise pas de diode tunnel.
La consommation propre du variateur (quelques watts) est négligeable par rapport à la puissance dissipée par la lampe ; elle dépend du réglage de l'angle de retard à l'amorçage (qui impose la valeur de l'intensité dans le composant et la lampe). Mais les pertes d'énergie dans le triac transformées en chaleur imposent que ce dernier soit monté sur un radiateur.
La tension instantanée n'est pas écrêtée.
Le variateur basique n'utilise pas de diode tunnel.
La consommation propre du variateur (quelques watts) est négligeable par rapport à la puissance dissipée par la lampe ; elle dépend du réglage de l'angle de retard à l'amorçage (qui impose la valeur de l'intensité dans le composant et la lampe). Mais les pertes d'énergie dans le triac transformées en chaleur imposent que ce dernier soit monté sur un radiateur.
22 mai 2013 à 20:27

Bonjour Bruno. La technique habituelle consiste à percer le barillet en plusieurs fois jusqu'à temps qu'on puisse l'extraire. Le serrurier, si par hasard vous en trouvez un vrai, ne devrait pas faire autrement (ne pas appeler un SOS serrure ou équivalent qui vous facturera le prix de la porte).
Vous essayez de nouveau de tourner la clef jusqu'à temps qu'elle accroche ; vous pouvez aussi tapoter sur le barillet avec un petit marteau en espérant que les vibrations feront bouger les parties mobiles.
Puis en l'absence de résultat, destruction du barillet à la perceuse.
Bonne chance (il en faut).
Attendons d'autres avis.
Vous essayez de nouveau de tourner la clef jusqu'à temps qu'elle accroche ; vous pouvez aussi tapoter sur le barillet avec un petit marteau en espérant que les vibrations feront bouger les parties mobiles.
Puis en l'absence de résultat, destruction du barillet à la perceuse.
Bonne chance (il en faut).
Attendons d'autres avis.
22 mai 2013 à 10:27

Bonjour. Eh oui, sauf que ce boitier est certainement plombé. Il comporte deux contacts, un pour la commutation du comptage en HC, et un autre pour la commande du contacteur de chauffe-eau. Normalement sur votre tableau de répartition vous devriez avoir une protection du circuit de commande (voir question 6682).
Vous court-circuitez le contact pour voir si le contacteur s'enclenche ; si c'est oui et après vérification complète du circuit de commande, il n'y a plus qu'à appeler ERDF pour le contrôle du relais 175 Hz.
Conclusion : vérifier en détail le circuit de commande, faire l'essai en shuntant le contact ERDF, appeler éventuellement le technicien ERDF.
Vous court-circuitez le contact pour voir si le contacteur s'enclenche ; si c'est oui et après vérification complète du circuit de commande, il n'y a plus qu'à appeler ERDF pour le contrôle du relais 175 Hz.
Citation :On peut comprendre que vous avez fait une fausse manipulation lors de ce changement de contacteur. N'auriez vous pas travaillé sous tension ?
Après changement du contacteur j/n pour chauffe bain...
Conclusion : vérifier en détail le circuit de commande, faire l'essai en shuntant le contact ERDF, appeler éventuellement le technicien ERDF.
21 mai 2013 à 14:06

Bonjour. Déplacer la cloison (on démolit et on fait du neuf) ou l'enlever carrément ne semble pas un problème.
C'est un travail assez facile d'autant plus qu'il y a juste le mini plafond à modifier.
Un plaquiste vous fait cela en une journée ou deux.
Mais ôter la cloison serait peut-être suffisant.
C'est un travail assez facile d'autant plus qu'il y a juste le mini plafond à modifier.
Un plaquiste vous fait cela en une journée ou deux.
Mais ôter la cloison serait peut-être suffisant.
21 mai 2013 à 12:30

Bonjour. Juste un avis en passant.
Bigre ! Le terrain semble être intéressant, mais à 85 k€ ce n'est pas une affaire s'il faut démolir l'édifice. Seule la toiture n'est pas en ruine. Mais derrière l'écran on n'est pas objectif ; l'impression n'est pas très bonne.
Bigre ! Le terrain semble être intéressant, mais à 85 k€ ce n'est pas une affaire s'il faut démolir l'édifice. Seule la toiture n'est pas en ruine. Mais derrière l'écran on n'est pas objectif ; l'impression n'est pas très bonne.
21 mai 2013 à 11:12

Bonjour réponse 7. Hélas, on peut penser que seule la réponse 1 vous permettra d'utiliser votre lampe.
La fonction tactile semble être un gadget peu fiable.
La fonction tactile semble être un gadget peu fiable.
21 mai 2013 à 10:57

Bonjour jmb. Il faudrait que vous fassiez de nouveau le changement du condensateur en étant certain qu'il soit bon, donc avec un neuf de la valeur spécifiée par le constructeur. Si vous avez un moteur en tout point identique, vous faites l'échange. Vous essayez d'abord charge désaccouplée si c'est possible.
On suppose que vous avez contrôlé la continuité de l'enroulement auxiliaire.
Qu'est-ce qu'une PPE ?
On suppose que vous avez contrôlé la continuité de l'enroulement auxiliaire.
Qu'est-ce qu'une PPE ?
20 mai 2013 à 08:51

Bonjour. Il faudrait que vous déconnectiez le système photovoltaïque du secteur et refassiez vos mesures (mais c'est le réseau qui impose la valeur de la tension, pas l'onduleur).
Il faut que vous soyez certain des qualités de votre multimètre.
La tension simple normalisée est 230 V + ou - 10%. Les fluctuations sont assez fortes néanmoins chez vous. Quelques volts seraient davantage acceptables.
Vous pouvez également comparer avec les valeurs des tensions dans le voisinage proche.
Il faut que vous soyez certain des qualités de votre multimètre.
La tension simple normalisée est 230 V + ou - 10%. Les fluctuations sont assez fortes néanmoins chez vous. Quelques volts seraient davantage acceptables.
Vous pouvez également comparer avec les valeurs des tensions dans le voisinage proche.
19 mai 2013 à 23:22

Bonsoir à tous. J'ai suivi pas à pas ce dépannage à distance et n'était pas convaincu au départ des chances de réussite sans schéma de la carte. L'expérience de Dom a pu compenser ce manque. Félicitations pour la précision du téléguidage.
La partie manip n'était pas gagnée (et c'était sans compter sur la persévérance de Marielle), et j'ai craint de voir un post décrivant un effet pyrotechnique unique et non reproductible avec la carte au centre, suite au branchement de la sonde dont il n'a pas été spécifié au départ qu'elle pu être différentielle, à moins que l'oscillo possède lui même des entrées différentielles (ou le montage isolé du réseau, ou pire du pire, l'oscillo déconnecté de la terre et l'on n'ose pas y penser ne serait-ce qu'un instant).
Puis vint le 7815 que je n'ai pas encore trouvé ; ce n'est pas le composant le plus difficile à contrôler en fonctionnement.
Les ponts de Graetz (PD2) en parallèle ce n'est pas bien fréquent sur ce type de petit montage, en électronique de puissance davantage. Le constructeur a résolu ainsi un problème d'encombrement ou de cout. **
Quant à l'IGBT, c'est le composant actif principal en commutation et de ce fait est naturellement le premier suspect ; il est le siège de pertes tant en conduction qu'en commutation. **
** : on espère que ces composants sont montés sur radiateurs ; la substance blanche serait donc de la graisse thermique. Est-ce bien cela ? Si ce n'est pas le cas pour l'IGBT, c'est embêtant, et source de panne par échauffement non maitrisé.
Cordialement
La partie manip n'était pas gagnée (et c'était sans compter sur la persévérance de Marielle), et j'ai craint de voir un post décrivant un effet pyrotechnique unique et non reproductible avec la carte au centre, suite au branchement de la sonde dont il n'a pas été spécifié au départ qu'elle pu être différentielle, à moins que l'oscillo possède lui même des entrées différentielles (ou le montage isolé du réseau, ou pire du pire, l'oscillo déconnecté de la terre et l'on n'ose pas y penser ne serait-ce qu'un instant).
Puis vint le 7815 que je n'ai pas encore trouvé ; ce n'est pas le composant le plus difficile à contrôler en fonctionnement.
Les ponts de Graetz (PD2) en parallèle ce n'est pas bien fréquent sur ce type de petit montage, en électronique de puissance davantage. Le constructeur a résolu ainsi un problème d'encombrement ou de cout. **
Quant à l'IGBT, c'est le composant actif principal en commutation et de ce fait est naturellement le premier suspect ; il est le siège de pertes tant en conduction qu'en commutation. **
** : on espère que ces composants sont montés sur radiateurs ; la substance blanche serait donc de la graisse thermique. Est-ce bien cela ? Si ce n'est pas le cas pour l'IGBT, c'est embêtant, et source de panne par échauffement non maitrisé.
Citation :Il faudra dire à maman que c'est en bonne voie. Et que l'électricité, c'est passionnant.
Ma mère me dit souvent : « un jour tu grandiras… » J’attends…
Cordialement
19 mai 2013 à 23:04

Bonjour pascalblum. Il eût fallu préciser initialement le type de porte et de moteur utilisé.
Le problème vient du fait que le moteur fonctionne en 1,5 V, et que la commande qui nécessitera des relais devra fonctionner avec la tension nominale des bobines ; d'où l'obligation de deux alimentations, sans compter celle de l'horloge. Ce n'est pas infaisable, mais il faut du temps.
La solution du volet roulant est plus simple à mettre en œuvre.
Le problème vient du fait que le moteur fonctionne en 1,5 V, et que la commande qui nécessitera des relais devra fonctionner avec la tension nominale des bobines ; d'où l'obligation de deux alimentations, sans compter celle de l'horloge. Ce n'est pas infaisable, mais il faut du temps.
La solution du volet roulant est plus simple à mettre en œuvre.
19 mai 2013 à 00:27

Bonjour.
Le module 6410 possède effectivement un contact sec, ce qui signifie que ce contact est libre de tout potentiel. Vous faites ce que vous voulez avec ce contact équivalent à un vulgaire interrupteur.
La notice du 6410 est ici : branchement module delta dore 6410.pdf
Citation :Non, pas du tout, il n'envoie rien.
le tyxia 6410 envoie du 220V en contact sec impulsionnel.
Le module 6410 possède effectivement un contact sec, ce qui signifie que ce contact est libre de tout potentiel. Vous faites ce que vous voulez avec ce contact équivalent à un vulgaire interrupteur.
La notice du 6410 est ici : branchement module delta dore 6410.pdf
18 mai 2013 à 15:07

Bonjour PL. La question a été posée, mais sans réponse : "si l'embout annelé est bien ouvert".
18 mai 2013 à 10:47

Bonjour Lyane. Juste un avis en passant.
Le couple demandé en bout du levier est énorme, et en cas de vent, une limitation interne peut couper l'alimentation des moteurs.
Citation :Oui, effectivement, la porte est bien belle et il serait déraisonnable d'y toucher en enlevant des lames ou en faisant des trous ; par contre la motorisation est manifestement sous-dimensionnée. Ce n'est pas un problème de porte, mais de système d’ouverture de puissance trop légère par rapport à la masse importante à mettre en mouvement.
...ce qui perturbe la motorisation.
Le couple demandé en bout du levier est énorme, et en cas de vent, une limitation interne peut couper l'alimentation des moteurs.
18 mai 2013 à 09:39

Bonjour. Vous demandez une étude complète qu'il est impossible de faire ici, dans la cadre d'un forum d'entraide ponctuelle.
C'est ce que font les constructeurs dans les bureaux d'étude à partir d'un cahier des charges précis dont votre description est très éloignée.
La commande de la porte doit comprendre des éléments de sécurité en cas de passage inopiné de personnes lors de la fermeture, une protection en cas de blocage, un ou des dispositifs d'arrêt d'urgence et de réouverture.
La motorisation par machine à courant continu n'est peut-être pas le meilleur choix.
Il faut que vous fassiez appel à une société spécialisée pour étudier et réaliser cet automatisme.
Mais s'il s'agit d'un exercice proposé dans le cadre d'une formation, il faut être beaucoup plus précis concernant le matériel à mettre en œuvre et ses caractéristiques, et l'usage de cette porte.
C'est ce que font les constructeurs dans les bureaux d'étude à partir d'un cahier des charges précis dont votre description est très éloignée.
La commande de la porte doit comprendre des éléments de sécurité en cas de passage inopiné de personnes lors de la fermeture, une protection en cas de blocage, un ou des dispositifs d'arrêt d'urgence et de réouverture.
La motorisation par machine à courant continu n'est peut-être pas le meilleur choix.
Il faut que vous fassiez appel à une société spécialisée pour étudier et réaliser cet automatisme.
Mais s'il s'agit d'un exercice proposé dans le cadre d'une formation, il faut être beaucoup plus précis concernant le matériel à mettre en œuvre et ses caractéristiques, et l'usage de cette porte.
18 mai 2013 à 09:25

Bien reçu. Tout ce que l'on peut faire est d'exploiter la plaque signalétique, la photo du bornier, les caractéristiques du constructeur.
Il s'agit d'un alternateur triphasé de 7,5 kVA dont l'induit est couplé en étoile avec neutre accessible (230 / 400 V) et autorégulé de façon électronique ; la roue polaire (rotor) est alimentée par l'intermédiaire de bagues et balais. Il doit tourner à vitesse constante de 3 000 tr/min.
On peut supposer qu'il est couplé à un moteur thermique pour constituer un groupe électrogène.
En état de marche, il suffit de l'entrainer, il s'autoexcite et est alors prêt à débiter.
Extrait des caractéristiques :
"The generators of this series are three-phase, with brushes and they are characterised by an innovative electronic voltage control...
The Latest-technology ASR regulator, assure an trouble-less use, a precise voltage control and an underfrequency protection."
Une belle machine classique.
Il s'agit d'un alternateur triphasé de 7,5 kVA dont l'induit est couplé en étoile avec neutre accessible (230 / 400 V) et autorégulé de façon électronique ; la roue polaire (rotor) est alimentée par l'intermédiaire de bagues et balais. Il doit tourner à vitesse constante de 3 000 tr/min.
On peut supposer qu'il est couplé à un moteur thermique pour constituer un groupe électrogène.
En état de marche, il suffit de l'entrainer, il s'autoexcite et est alors prêt à débiter.
Extrait des caractéristiques :
"The generators of this series are three-phase, with brushes and they are characterised by an innovative electronic voltage control...
The Latest-technology ASR regulator, assure an trouble-less use, a precise voltage control and an underfrequency protection."
Une belle machine classique.
18 mai 2013 à 09:09

Bonjour Ailene. Juste un témoignage en passant.
Il y a ce genre de lit en hauteur dans l'environnement familial. Certes, l'enfant ne peut se mettre debout, mais pour dormir couché c'est pratique. En dessous il y a de la place pour mettre un bureau, ou étaler Dora et ses accessoires.
L'échelle est en bout. Les deux modèles viennent du magasin bleu ; la largeur est environ 1 mètre maximum, et non 140.
Si l'enfant est petit (4 ans environ), on peut bricoler une rallonge en hauteur pour la barrière.
Il faut aussi lui bricoler un éclairage pour pouvoir lire confortablement, et on peut également rajouter une commande pour l'éclairage de la pièce.
Tout est possible.
Il y a ce genre de lit en hauteur dans l'environnement familial. Certes, l'enfant ne peut se mettre debout, mais pour dormir couché c'est pratique. En dessous il y a de la place pour mettre un bureau, ou étaler Dora et ses accessoires.
L'échelle est en bout. Les deux modèles viennent du magasin bleu ; la largeur est environ 1 mètre maximum, et non 140.
Si l'enfant est petit (4 ans environ), on peut bricoler une rallonge en hauteur pour la barrière.
Il faut aussi lui bricoler un éclairage pour pouvoir lire confortablement, et on peut également rajouter une commande pour l'éclairage de la pièce.
Tout est possible.
18 mai 2013 à 00:28

Bonjour. Il faut vous assurer que les siphons de douche (la bonde), lavabo etc. soient bien remplis, et qu'ils ne se vident pas par aspiration lors d'un écoulement ailleurs, WC du 1er étage notamment. On suppose que la canalisation de 100 est mise à l'air en toiture. On suppose aussi que l'aération de la fosse est effectuée.
Pour voir d'où s'échappe l'odeur vous pouvez recouvrir la bonde d'un adhésif qui fera bouchon ; vous verrez alors si l'odeur disparait ou non.
Pour voir d'où s'échappe l'odeur vous pouvez recouvrir la bonde d'un adhésif qui fera bouchon ; vous verrez alors si l'odeur disparait ou non.
18 mai 2013 à 00:13

Bien reçu. Il s'agit simplement de mesurer la résistance du galvanomètre. Mais pour ne pas le surcharger avec le courant injecté par votre ohmmètre supposé numérique, on le laisse en série avec sa résistance R1. Vous déconnectez sa borne de gauche, et vous branchez l'ohmmètre ; celui-ci doit indiquer un peu plus que R1, tandis que l'aiguille doit dévier. La résistance du cadre fait quelques dizaines d'ohms généralement.
L'autre façon de faire est de déconnecter une borne du galvanomètre, et de faire passer dans le cadre 40 microampères ou un peu moins (pile 4,5 V en série avec une résistance de 120 k.ohms. L'aiguille doit dévier presque à fond.
L'autre façon de faire est de déconnecter une borne du galvanomètre, et de faire passer dans le cadre 40 microampères ou un peu moins (pile 4,5 V en série avec une résistance de 120 k.ohms. L'aiguille doit dévier presque à fond.
18 mai 2013 à 00:05

Bonjour. Ce n'est pas très plan. La bosse est franchement gênante et il faudrait la raboter si c'est possible.
Pour aplanir le reste, un ragréage liquide autolissant pourrait remédier à l'horizontalité mais ce peut être assez délicat à effectuer si l'on n'a pas le coup de main. Il y a beaucoup de vagues. Voir éventuellement avec un professionnel expérimenté et soigneux.
Mais peut-être pouvez vous détruire la dalle si elle n'est pas trop épaisse ni trop dure. Sinon vous risquez d'élever le niveau des pièces par rapport aux autres pièces ou un couloir par exemple.
Poser le stratifié sur une couche absorbante ne sera pas difficile après ce ragréage. Évitez le stratifié avec sous couche native prétendument anti-bruit. Mais vous pouvez également coller un stratifié ou autre "parquet".
La pose des plinthes collées nécessite une technique spéciale si vous voulez faire un travail propre : il faut plaquer les plinthes sur le mur et appuyer fortement en vertical pour absorber les petites différences de niveau inévitables, et sans endommager plinthes et murs.
Revenez sur le forum à ce moment et l'on vous proposera une méthode personnelle efficace.
A la livraison des plinthes assorties, vérifiez bien les teintes car il peut y avoir des différences suivant la marque et le distributeur qui peut alors s'en moquer.
Pour aplanir le reste, un ragréage liquide autolissant pourrait remédier à l'horizontalité mais ce peut être assez délicat à effectuer si l'on n'a pas le coup de main. Il y a beaucoup de vagues. Voir éventuellement avec un professionnel expérimenté et soigneux.
Mais peut-être pouvez vous détruire la dalle si elle n'est pas trop épaisse ni trop dure. Sinon vous risquez d'élever le niveau des pièces par rapport aux autres pièces ou un couloir par exemple.
Poser le stratifié sur une couche absorbante ne sera pas difficile après ce ragréage. Évitez le stratifié avec sous couche native prétendument anti-bruit. Mais vous pouvez également coller un stratifié ou autre "parquet".
La pose des plinthes collées nécessite une technique spéciale si vous voulez faire un travail propre : il faut plaquer les plinthes sur le mur et appuyer fortement en vertical pour absorber les petites différences de niveau inévitables, et sans endommager plinthes et murs.
Revenez sur le forum à ce moment et l'on vous proposera une méthode personnelle efficace.
A la livraison des plinthes assorties, vérifiez bien les teintes car il peut y avoir des différences suivant la marque et le distributeur qui peut alors s'en moquer.
17 mai 2013 à 13:10

Bonjour Leandre. Quelques précisions sur la structure de votre installation seraient bienvenues. A vous lire on peut supposer qu'il s'agit d'un groupe électrogène mais ce n'est pas certain.
On ne peut savoir derrière l'écran comment le neutre peut "s'allumer". De même, le sens de rotation de la machine reste mystérieux.
Cours d'élec : L'alternateur classique comporte un bobinage statorique triphasé couplé en étoile avec neutre sorti.
Le rotor peut être soit un aimant permanent (Permanent Magnet Alternator), soit un électro-aimant. L'avantage de l'électro-aimant est que la régulation de la tension de sortie en fonction du débit est possible. Ce rotor est entrainé à fréquence de rotation constante, afin que la fréquence des grandeurs de sortie (tensions et courants) le soit également.
Dans votre application, la machine fonctionne en génératrice. Mais il y a beaucoup d'applications ou la machine peut fonctionner en moteur.
A suivre si vous apportez des précisions.
On ne peut savoir derrière l'écran comment le neutre peut "s'allumer". De même, le sens de rotation de la machine reste mystérieux.
Cours d'élec : L'alternateur classique comporte un bobinage statorique triphasé couplé en étoile avec neutre sorti.
Le rotor peut être soit un aimant permanent (Permanent Magnet Alternator), soit un électro-aimant. L'avantage de l'électro-aimant est que la régulation de la tension de sortie en fonction du débit est possible. Ce rotor est entrainé à fréquence de rotation constante, afin que la fréquence des grandeurs de sortie (tensions et courants) le soit également.
Dans votre application, la machine fonctionne en génératrice. Mais il y a beaucoup d'applications ou la machine peut fonctionner en moteur.
A suivre si vous apportez des précisions.
17 mai 2013 à 09:24

Bonjour CMT. Je suis d'accord avec vous ; c'est maintenant à clolifier de faire le choix, et qu'il soit certain que la puissance souscrite lui suffira dans les années qui viennent, s'il est amené à modifier le système de chauffage ou étendre la surface habitable.
Il est évident que 15 kVA en monophasé est plus facile à installer et moins délicat à l'usage qu'en triphasé. Mais ERDF a imposé cette charnière à 12 kVA. Et pour 3kVA supplémentaires le surcout est tout sauf négligeable, voire dissuasif.
Cordialement.
Il est évident que 15 kVA en monophasé est plus facile à installer et moins délicat à l'usage qu'en triphasé. Mais ERDF a imposé cette charnière à 12 kVA. Et pour 3kVA supplémentaires le surcout est tout sauf négligeable, voire dissuasif.
Cordialement.
17 mai 2013 à 09:07

Bien reçu. Je ne suis pas au fait des performances de ce système de chauffage, c'est pour cela que 6 kW me semble peu. Voire très peu. Une pompe à chaleur (eau eau si vous avez un grand terrain) serait peut-être une idée à creuser.
12 kVA semble un minimum en double tarif. Reste à savoir si vous optez pour du monophasé (donc puissance figée) ou triphasé (évolutif en puissance).
Il faut prendre en compte le gros électroménager, le chauffage, le chauffe-eau. Le reste ne consomme que peu de puissance.
Cordialement.
Attendons d'autres avis.
12 kVA semble un minimum en double tarif. Reste à savoir si vous optez pour du monophasé (donc puissance figée) ou triphasé (évolutif en puissance).
Il faut prendre en compte le gros électroménager, le chauffage, le chauffe-eau. Le reste ne consomme que peu de puissance.
Cordialement.
Attendons d'autres avis.
16 mai 2013 à 23:52

Bien reçu demonjoker. A distance on essaie de comprendre comme vous ce qui a pu se passer. Si l'on reprend votre description, il s'agit d'un groupe isolé de la remorque, et vous ne voyez pas de protection différentielle (ce qui est regrettable). Votre ami ressent une électrisation quand il touche le groupe et la remorque ; la sensation peut être entre les deux mains ; et pour le moment il n'y a pas d'explication.
On ne peut penser à une charge statique de la remorque métallique ; le seul fait de toucher la remorque pourrait provoquer une sensation désagréable.
De toutes façons, il ne faut pas isoler le groupe de la remorque, ni laisser l'installation en l'état.
Ce serait au loueur du groupe d'intervenir s'il est du métier pour sécuriser l'ensemble. Il semble y avoir danger pour les personnes et les biens.
Citation :Oui, mais quel appareillage ? Pas d’explication possible à ce stade. Quelques mesures sur place permettraient d'éclaircir cet incident anormal.
...c'est le tableau qui pète direct ...
Citation :On ne peut pas faire davantage de suppositions devant un montage qui manque de détails concernant les branchements effectués. Si votre ami vous les fournit (ainsi que la notice de branchement du groupe non disponible sur le net) on pourra vous guider davantage et nous aurons tous appris quelque chose.
Si défaut d'isolement il y a... alors pourquoi cela ne se produit pas hors remorque ?
On ne peut penser à une charge statique de la remorque métallique ; le seul fait de toucher la remorque pourrait provoquer une sensation désagréable.
De toutes façons, il ne faut pas isoler le groupe de la remorque, ni laisser l'installation en l'état.
Ce serait au loueur du groupe d'intervenir s'il est du métier pour sécuriser l'ensemble. Il semble y avoir danger pour les personnes et les biens.
16 mai 2013 à 23:38

Bien reçu.
Il ne s'agit pas d'un disjoncteur mais d'un contacteur à 3 positions : arrêt, auto, forcé.
Ce peut être le contact de commande ERDF, mais ce peut être également le circuit de commande sur votre tableau.
3 semaines pour cette intervention, certes non urgente, c'est beaucoup.
En attendant, vous pouvez faire une recherche vous même en vous inspirant de la notice de dépannage disponible en question 6682]6682 : Problème branchement cumulus HC et HP
Il ne s'agit pas d'un disjoncteur mais d'un contacteur à 3 positions : arrêt, auto, forcé.
Ce peut être le contact de commande ERDF, mais ce peut être également le circuit de commande sur votre tableau.
3 semaines pour cette intervention, certes non urgente, c'est beaucoup.
En attendant, vous pouvez faire une recherche vous même en vous inspirant de la notice de dépannage disponible en question 6682]6682 : Problème branchement cumulus HC et HP
16 mai 2013 à 22:49

Ne vous précipitez pas, étudiez bien le système avant. Faire l'essai avec la crosse dans l'évier.
16 mai 2013 à 15:09

Bonjour.
Si ce mélangeur vous donne satisfaction vous essayez de le réparer. Dans le cas contraire, vous changez pour un modèle de grande marque disponible chez les grossistes en matériels de plomberie sanitaire.
Citation :Eh bien, il faut démonter le bouton en dévissant la vis normalement présente au milieu de celui ci, et voir comment cela se présente derrière. Un joint ? Certainement. Mais sans marque et référence, on ne peut en dire plus. Si vous possédez la notice ce sera plus simple pour vous.
Peut-on facilement démonter ce bouton, s'agit-il d'un joint ?
Si ce mélangeur vous donne satisfaction vous essayez de le réparer. Dans le cas contraire, vous changez pour un modèle de grande marque disponible chez les grossistes en matériels de plomberie sanitaire.
16 mai 2013 à 14:16

Bonjour. Actuellement, l'évier pourrait s'écouler dans le lave vaisselle (si l'embout annelé est bien ouvert) ce qui n'est pas le sens normal.
L'évacuation du lave-vaisselle doit être faite comme celle d'un lave-linge, c'est à dire avec un tube spécifique avec siphon. Ce sera facile à reprendre à partir du tuyau PVC gris de 40 mm qui descend.
En attendant il faut jeter un œil sur le raccordement, et faire un essai de vidange avec la crosse directement dans l'évier. Gare aux fuites si vous ne bouchez pas l'embout annelé désormais à l'air libre.
L'évacuation du lave-vaisselle doit être faite comme celle d'un lave-linge, c'est à dire avec un tube spécifique avec siphon. Ce sera facile à reprendre à partir du tuyau PVC gris de 40 mm qui descend.
En attendant il faut jeter un œil sur le raccordement, et faire un essai de vidange avec la crosse directement dans l'évier. Gare aux fuites si vous ne bouchez pas l'embout annelé désormais à l'air libre.
16 mai 2013 à 14:06

Bonjour. Effectivement, on ne peut pas reprocher aux contributeurs de conseiller ces articles et vous avez trouvé tout seul pourquoi.
Il donc contrôler le thermostat électromécanique tout d'abord (s'il y en a un et non un électronique), voir s'il n'y aurait pas un petit bouton pour le réarmer en cas de surchauffe ; ensuite on contrôle la résistance, mais c'est normalement un élément robuste.
Nécessaire : multimètre, lampe témoin + des connaissances en électricité + une prudence extrême. Ou bien intervention d'un ami expérimenté. Ou intervention du poseur s'il est du métier.
A suivre, avec des précisions.
Il donc contrôler le thermostat électromécanique tout d'abord (s'il y en a un et non un électronique), voir s'il n'y aurait pas un petit bouton pour le réarmer en cas de surchauffe ; ensuite on contrôle la résistance, mais c'est normalement un élément robuste.
Nécessaire : multimètre, lampe témoin + des connaissances en électricité + une prudence extrême. Ou bien intervention d'un ami expérimenté. Ou intervention du poseur s'il est du métier.
Citation :Bien sûr.
il devrait quant même duré plus de 2 ans a mon avis ?
A suivre, avec des précisions.
16 mai 2013 à 13:02

Bonjour. A la relecture on peut comprendre que vous n'avez rien à voir avec les deux groupes et que vous essayez juste de comprendre ce qui se passe. Votre responsabilité ne serait donc pas en cause.
16 mai 2013 à 12:22

Bonjour. On peut conseiller à votre ami de faire intervenir un électricien sur place qui saura établir les liaisons équipotentielles nécessaires et les mises à la terre pour que la sécurité des personnes soient garanties. D'autant plus que comme le souligne 1Insp, on ne voit pas le montage effectué.
Le groupe dont vous donnez la référence est des plus classiques et devrait être équipé de ce module :
Protection différentielle R03B - Ce coffret inclut le compteur horaire, l'interrupteur différentiel, les prises et le disjoncteur thermique Et bien entendu il faut un piquet de terre de bonne taille.
Conclusion : ce problème ne peut se régler à 300 km, d'autant plus que votre responsabilité pourrait être engagée et que vous n'êtes pas professionnel. Par sécurité il faut faire intervenir un professionnel.
Remarque :
Le groupe dont vous donnez la référence est des plus classiques et devrait être équipé de ce module :
Protection différentielle R03B - Ce coffret inclut le compteur horaire, l'interrupteur différentiel, les prises et le disjoncteur thermique Et bien entendu il faut un piquet de terre de bonne taille.
Conclusion : ce problème ne peut se régler à 300 km, d'autant plus que votre responsabilité pourrait être engagée et que vous n'êtes pas professionnel. Par sécurité il faut faire intervenir un professionnel.
Remarque :
Citation :C'est la tension (ddp) entre deux points du corps de l'opérateur qui peut tuer ce dernier ; et non l'intensité qui passe dans le conducteur malencontreusement touché.
Y a de l'intensité, faut pas l'oublier !
16 mai 2013 à 11:42

Bonjour. Il est bizarre que l'interrupteur crépusculaire ne soit pas alimenté en permanence. Le contact de l'horloge ne devrait-il pas être placé en aval du contact de l'interrupteur crépusculaire ? Les alimentations de l'horloge et de l'interrupteur crépusculaire devraient être ensemble et protégées.
Il faut vous inspirer des montages classiques d'éclairage domestique qui seraient alimentés et protégés de la même façon.
Pour les protections, chaque élément doit posséder la sienne propre sous forme de fusible ; il faut donc consulter les notices.
J'aurais tendance à isoler la batterie avec un petit DJ bipolaire ou porte fusible à deux coupures, idem pour la ligne de led qu'il faut pouvoir isoler et protéger contre un éventuel court-circuit qui serait répercuté sur la batterie. Penser à la sélectivité des protections quand elles sont en cascade.
S'agissant d'un montage pédagogique pouvant être utilisé en essai de système, il faudrait y mettre des bornes de mesure, ainsi que des cavaliers permettant d'isoler l'un ou l'autre des appareillages pour tester chaque composant.
Le montage étant isolé du secteur et en TBT il n'y a pas lieu d'y mettre une protection différentielle.
Pourquoi n'avez vous pas demandé conseil auprès de vos camarades ou professeurs ?
Il faut vous inspirer des montages classiques d'éclairage domestique qui seraient alimentés et protégés de la même façon.
Pour les protections, chaque élément doit posséder la sienne propre sous forme de fusible ; il faut donc consulter les notices.
J'aurais tendance à isoler la batterie avec un petit DJ bipolaire ou porte fusible à deux coupures, idem pour la ligne de led qu'il faut pouvoir isoler et protéger contre un éventuel court-circuit qui serait répercuté sur la batterie. Penser à la sélectivité des protections quand elles sont en cascade.
S'agissant d'un montage pédagogique pouvant être utilisé en essai de système, il faudrait y mettre des bornes de mesure, ainsi que des cavaliers permettant d'isoler l'un ou l'autre des appareillages pour tester chaque composant.
Le montage étant isolé du secteur et en TBT il n'y a pas lieu d'y mettre une protection différentielle.
Pourquoi n'avez vous pas demandé conseil auprès de vos camarades ou professeurs ?
16 mai 2013 à 10:32

Bonjour. Vous ne précisez pas la surface habitable et si elle est appelée à augmenter.
Le poste chauffage semble sous-dimensionné.
Pour une habitation moyenne sur un niveau avec équipement tout électrique, 8 kVA est un bon début. Si on rajoute un étage couvrant toute la surface on passe à 12 kVA en monophasé. Pour des surfaces supérieures on peut passer à 15 ou 18 kVA, mais en triphasé. Donc il faut que vous affiniez votre étude.
Pour ce qui concerne la fabrication des pieuvres, ce n'est pas du tout la meilleure méthode, car l'installation sera figée pour l'éternité. Donc ce point est très négatif.
Il faut faire votre schéma à partir du tableau de distribution d'où toutes les lignes partiront, quitte à ce que certaines arrivent dans de grosses boites de dérivation judicieusement réparties dans certaines pièces.
C'est un travail de préparation très important et cela vaut la peine d'y passer beaucoup de temps. La réalisation elle même est très longue si l'on travaille tout seul, et il vaut mieux être très proche du métier.
Conclusion : il faut définir la puissance nécessaire en tenant compte d'une évolution possible de l'habitat, et laisser tomber la réalisation de pieuvres ou autres systèmes figés dont vous ne serez pas maitre et qui empêcheront toute modification ou adaptation. La définition de la ligne sera effectuée après le choix de la puissance. Il faudra penser à passer les lignes de télé-information, et tout ce qui concerne éclairage extérieur et portail automatique ultérieur. Mais c'est du plein temps, avec de fortes compétences en électricité.
Si ce n'est pas le cas, des erreurs irrémédiables peuvent être commises. On ne bricole pas en électricité.
Le poste chauffage semble sous-dimensionné.
Pour une habitation moyenne sur un niveau avec équipement tout électrique, 8 kVA est un bon début. Si on rajoute un étage couvrant toute la surface on passe à 12 kVA en monophasé. Pour des surfaces supérieures on peut passer à 15 ou 18 kVA, mais en triphasé. Donc il faut que vous affiniez votre étude.
Pour ce qui concerne la fabrication des pieuvres, ce n'est pas du tout la meilleure méthode, car l'installation sera figée pour l'éternité. Donc ce point est très négatif.
Il faut faire votre schéma à partir du tableau de distribution d'où toutes les lignes partiront, quitte à ce que certaines arrivent dans de grosses boites de dérivation judicieusement réparties dans certaines pièces.
C'est un travail de préparation très important et cela vaut la peine d'y passer beaucoup de temps. La réalisation elle même est très longue si l'on travaille tout seul, et il vaut mieux être très proche du métier.
Conclusion : il faut définir la puissance nécessaire en tenant compte d'une évolution possible de l'habitat, et laisser tomber la réalisation de pieuvres ou autres systèmes figés dont vous ne serez pas maitre et qui empêcheront toute modification ou adaptation. La définition de la ligne sera effectuée après le choix de la puissance. Il faudra penser à passer les lignes de télé-information, et tout ce qui concerne éclairage extérieur et portail automatique ultérieur. Mais c'est du plein temps, avec de fortes compétences en électricité.
Si ce n'est pas le cas, des erreurs irrémédiables peuvent être commises. On ne bricole pas en électricité.
15 mai 2013 à 09:17

Bonjour. Peu importe le titre du thème. Vous avez à associer les composants que vous avez cités.
Les protections seront les habituelles quand on met en service batterie, panneau et régulateur ; vous devez avoir un cours ou un essai de système dont vous pourrez vous inspirer. L’interrupteur crépusculaire devra être alimenté en permanence par la batterie, la protection de la ligne de led sera assurée à son départ.
Vous élaborez le projet et le soumettez à votre professeur de génie électrique.
Les protections seront les habituelles quand on met en service batterie, panneau et régulateur ; vous devez avoir un cours ou un essai de système dont vous pourrez vous inspirer. L’interrupteur crépusculaire devra être alimenté en permanence par la batterie, la protection de la ligne de led sera assurée à son départ.
Vous élaborez le projet et le soumettez à votre professeur de génie électrique.
15 mai 2013 à 09:02

Bonsoir.
La plupart des plaques avec feux classiques à résistance sont connectables sur les trois phases, d'où un bon équilibrage des intensités.
Citation :C'est tout simple. Quand on dispose du triphasé 230 / 400 V, on branche deux phases en L1 et L2, et le neutre en 4. Ainsi, cela permet d'équilibrer un tant soit peu le fonctionnement sur deux phases. Rares sont les plaques à induction fonctionnant avec les trois phases.
je ne comprends pas l'installation en 400 V
La plupart des plaques avec feux classiques à résistance sont connectables sur les trois phases, d'où un bon équilibrage des intensités.
14 mai 2013 à 22:21

Bien reçu. Vous avez quand même 3 plaques pour 6,4 kW en 230 V monophasé.
En mono c'est bien 32 A, même si le constructeur annonce 25 A de protection.
Vous avez bien une distribution monophasée ? Si non ça change tout.
En mono c'est bien 32 A, même si le constructeur annonce 25 A de protection.
Vous avez bien une distribution monophasée ? Si non ça change tout.
14 mai 2013 à 15:30

Bonjour Alexandre.
C'est un montage sans intérêt. Néanmoins, pour vous amuser, il faut juste un chargeur et une batterie, puis on branche l'autoradio dessus en respectant la polarité. C'est ce qu'indique mf06 en réponse 1.
L'utilisation d'une alimentation stabilisée est toujours possible mais cela n'en vaut pas la peine économiquement. Il faut qu'elle soit capable de débiter quelques ampères sous 12 V. On en trouve de pas très chères sur le marché.
C'est un montage sans intérêt. Néanmoins, pour vous amuser, il faut juste un chargeur et une batterie, puis on branche l'autoradio dessus en respectant la polarité. C'est ce qu'indique mf06 en réponse 1.
L'utilisation d'une alimentation stabilisée est toujours possible mais cela n'en vaut pas la peine économiquement. Il faut qu'elle soit capable de débiter quelques ampères sous 12 V. On en trouve de pas très chères sur le marché.
14 mai 2013 à 11:49

Bonjour. C'est simple, la réponse est non.
On ne divise pas les conducteurs de façon à éviter tout incident pouvant être très dangereux si par hasard l'un n'est plus connecté, et ce d'autant plus qu'il faut une section de 6 mm².
Il va vous falloir passer un nouveau câble de type 3g6. Quitte à ce qu'il soit en apparent ou dans une goulotte.
On ne divise pas les conducteurs de façon à éviter tout incident pouvant être très dangereux si par hasard l'un n'est plus connecté, et ce d'autant plus qu'il faut une section de 6 mm².
Il va vous falloir passer un nouveau câble de type 3g6. Quitte à ce qu'il soit en apparent ou dans une goulotte.
14 mai 2013 à 10:15

Bonjour.
L'eau pourrait arriver par la dalle si elle est poreuse (cas de pluie importante éventuelle), mais là encore il faut trouver l’origine de l'eau.
Ni phénomène d'aspiration, ni fuite par joint des WC (le circuit d'évacuation est normalement étanche, vide sauf au moment de l'utilisation de la chasse, sans remontée dans les WC sauf cas de bouchon aval).
Assurez vous qu'il n'y a pas de fuite, robinet d'arrivée ouvert, et tous les autres fermés. On pose l'oreille sur la canalisation et on peut entendre un chuintement. On peut également faire une mesure de consommation à quelques heures d'intervalle dans les mêmes conditions.
Une fois l'hypothèse WC invalidée, il faudra approfondir vos recherches.
Citation :Si justement, vous devez trouver l'origine de cette eau, en partant de la flaque et en remontant vers le WC. Mais ce n'est pas forcément lui.
...c'est à n'y rien comprendre
L'eau pourrait arriver par la dalle si elle est poreuse (cas de pluie importante éventuelle), mais là encore il faut trouver l’origine de l'eau.
Ni phénomène d'aspiration, ni fuite par joint des WC (le circuit d'évacuation est normalement étanche, vide sauf au moment de l'utilisation de la chasse, sans remontée dans les WC sauf cas de bouchon aval).
Assurez vous qu'il n'y a pas de fuite, robinet d'arrivée ouvert, et tous les autres fermés. On pose l'oreille sur la canalisation et on peut entendre un chuintement. On peut également faire une mesure de consommation à quelques heures d'intervalle dans les mêmes conditions.
Une fois l'hypothèse WC invalidée, il faudra approfondir vos recherches.
14 mai 2013 à 08:36

Bonjour. Vous ne précisez pas s'il s'agit d'un simple mélangeur à poignée ou d'un mitigeur thermostatique. On ne voit pas comment la pose de 2 mètres de tuyau pourrait changer la température de l'eau.
Des précisions seraient bienvenues.
Des précisions seraient bienvenues.
14 mai 2013 à 08:24

Bien reçu. C'est délicat si vous n'avez pas la notice. Avec la marque, vous pourriez l'obtenir auprès du service clients. Ce peut être également le clapet anti-retour présent dans le conduit de raccordement en eau.
Il faut enlever la poignée de réglage de la température, puis dévisser un écrou, une bague, puis dévisser l'élément thermostatique avec une clef plate (extrait de notice Grohe). Ensuite, on peut laisser tremper dans du vinaigre blanc pendant quelques heures. Le remontage nécessite généralement un réglage de la température.
Si vous n'avez pas d'expérience, il vaut mieux demander l'assistance d'un professionnel qui vous fera ce travail de remise à neuf rapidement.
Mais il vaut mieux que vous attendiez et observiez avant de tenter quelque démontage.
Si le mitigeur vous semble de premier prix et si vous êtes dans vos murs, il faudra voir si le changer pour une grande marque ne serait pas une bonne solution.
Attendons d'autres avis.
Il faut enlever la poignée de réglage de la température, puis dévisser un écrou, une bague, puis dévisser l'élément thermostatique avec une clef plate (extrait de notice Grohe). Ensuite, on peut laisser tremper dans du vinaigre blanc pendant quelques heures. Le remontage nécessite généralement un réglage de la température.
Si vous n'avez pas d'expérience, il vaut mieux demander l'assistance d'un professionnel qui vous fera ce travail de remise à neuf rapidement.
Mais il vaut mieux que vous attendiez et observiez avant de tenter quelque démontage.
Si le mitigeur vous semble de premier prix et si vous êtes dans vos murs, il faudra voir si le changer pour une grande marque ne serait pas une bonne solution.
Attendons d'autres avis.
13 mai 2013 à 22:35

Bonjour. Vous avez dû voir que si la pression du réseau est forte cela peut engendrer des bruits aléatoires.
Le sifflement du mitigeur peut provenir d'un entartrage consécutif à son usage s'il est ancien.
Un nettoyage interne pourrait-être envisagé. Pour cela, vous regardez le mode opératoire dans la notice.
Et peut-être qu'à la longue, le phénomène disparaitra de lui même.
Le sifflement du mitigeur peut provenir d'un entartrage consécutif à son usage s'il est ancien.
Un nettoyage interne pourrait-être envisagé. Pour cela, vous regardez le mode opératoire dans la notice.
Et peut-être qu'à la longue, le phénomène disparaitra de lui même.
13 mai 2013 à 12:15

Bonjour. C'est certainement du tartre. Vous pouvez essayer d'en enlever avec une spatule de peintre un peu souple, ou avec un autre objet long et souple. On peut passer également un furet, sorte de hérisson plus ou moins grand fixé sur un flexible ; mais pas forcément efficace sur des plaques de calcaire collées aux parois.
Vous pouvez également y mettre un décapant WC avec bec de canard par exemple, mais si l'émail de la cuvette est parti, cela peut attaquer sévèrement.
Et si le WC a fait son temps, on change.
Vous pouvez également y mettre un décapant WC avec bec de canard par exemple, mais si l'émail de la cuvette est parti, cela peut attaquer sévèrement.
Et si le WC a fait son temps, on change.
13 mai 2013 à 11:53

Bonjour. En l'absence de conseils de contributeurs expérimentés sur cette machine, vous pouvez regarder comment est fait le raccordement.
Vous débranchez la machine et vous enlevez la tôle arrière en dévissant les vis sur le pourtour. Vous verrez alors le raccordement du tube sur la pompe. Ensuite vous verrez si vous pouvez raccourcir le tube ou s'il en faut un neuf.
Vous débranchez la machine et vous enlevez la tôle arrière en dévissant les vis sur le pourtour. Vous verrez alors le raccordement du tube sur la pompe. Ensuite vous verrez si vous pouvez raccourcir le tube ou s'il en faut un neuf.
13 mai 2013 à 09:22

Bonjour. Il faudrait voir dans les combles comment cela est agencé. Si les combles sont recouverts d'un plancher bois, on peut faire une découpe très soigneuse avec une scie circulaire au milieu des solives bien délimitées. Vous verrez alors si les solives reposent sur le mur de briques ou non. Ensuite, on rebouche avec des panneaux OSB.
Mais vous pouvez également faire de même à droite de la porte en bas en effectuant une ouverture que vous pourrez toujours reboucher ultérieurement.
Dans un cas comme dans l'autre, il faudrait ouvrir.
Mais vous pouvez également faire de même à droite de la porte en bas en effectuant une ouverture que vous pourrez toujours reboucher ultérieurement.
Dans un cas comme dans l'autre, il faudrait ouvrir.
13 mai 2013 à 09:09

Bonjour Bob. Et oui, c'est bien de l'électricité générale comme on n'en fait plus beaucoup. Il n' y a plus grand monde qui sait ce qui se passe dans le ventre de ces contrôleurs universels analogiques.
Le galvanomètre lui même est une merveille technologique d'application des lois fondamentales de l'électricité, de l’électromagnétisme, de la mécanique des systèmes statiques et en mouvement etc.
Son histoire a débuté en 1820 avec André-Marie Ampère.
Le galvanomètre lui même est une merveille technologique d'application des lois fondamentales de l'électricité, de l’électromagnétisme, de la mécanique des systèmes statiques et en mouvement etc.
Son histoire a débuté en 1820 avec André-Marie Ampère.
12 mai 2013 à 20:21

Bonjour. La première des choses à faire est de vérifier le galvanomètre : entre la borne droite de R1 et la borne - de M1 mais déconnectée. Apparemment le calibre est de 40 microampères pour la déviation totale.
On constate qu'il n'y a aucun composant de protection de l'équipage mobile ; la moindre surcharge a pu être fatale au cadre mobile.
Ensuite, vous avez le choix si le cadre est bon et non bloqué : pulvériser un aérosol désoxydant sur le commutateur S1, idem sur S2.
Puis, au nez et à la vue voir si des résistances ne seraient pas grillées : R12 à R21 le shunt universel (mesure des intensités) et R 27 à R 33 (résistances série fonction voltmètre).
Il n'est pas certain que vous puissiez le remettre en service. Vous repassez en rouge tout le circuit voltmètre continu calibre 1,5 V par exemple, vous mettez une pile entre les bornes de mesure et vous voyez où il y a interruption du circuit.
Pourriez vous joindre une photo souvenir de ce multimètre ? Merci.
On constate qu'il n'y a aucun composant de protection de l'équipage mobile ; la moindre surcharge a pu être fatale au cadre mobile.
Ensuite, vous avez le choix si le cadre est bon et non bloqué : pulvériser un aérosol désoxydant sur le commutateur S1, idem sur S2.
Puis, au nez et à la vue voir si des résistances ne seraient pas grillées : R12 à R21 le shunt universel (mesure des intensités) et R 27 à R 33 (résistances série fonction voltmètre).
Il n'est pas certain que vous puissiez le remettre en service. Vous repassez en rouge tout le circuit voltmètre continu calibre 1,5 V par exemple, vous mettez une pile entre les bornes de mesure et vous voyez où il y a interruption du circuit.
Pourriez vous joindre une photo souvenir de ce multimètre ? Merci.
12 mai 2013 à 20:04
