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Bonjour Ftlm. Le vendeur est pour le moins bizarre, et le notaire doit réagir. Rappelons que le point de livraison et ses appareillages appartiennent à ERDF : coffret fusibles - compteur - disjoncteur de branchement. On n'ose pas croire que le compteur a disparu.
Il est évident, du moins ce me semble, que si ERDF doit créer un point de livraison considéré comme nouveau, le propriétaire sera assujetti à un contrôle du Consuel. Il vaudrait mieux que ce ne soit pas vous si les évènements vont dans ce sens.
Ce que vous avez constaté est contradictoire avec la ligne 7. Ce devrait être un motif de rétractation certainement sans frais. L'habitat semble ne plus comporter d'alimentation en énergie électrique. S'il n'y a pas de coffret extérieur, c'est peut-être que la liaison est aérienne et que le coffret fusibles ERDF est à l'intérieur de l'habitat. A préciser.
Qu'il y ait des dangers sur l'installation électrique, c'est normal si l'habitat est ancien. Mais que dit le diagnostic concernant le disjoncteur de branchement, voire le compteur ?
Attendons les avis éclairés des amis CMT et MJD.
Il est évident, du moins ce me semble, que si ERDF doit créer un point de livraison considéré comme nouveau, le propriétaire sera assujetti à un contrôle du Consuel. Il vaudrait mieux que ce ne soit pas vous si les évènements vont dans ce sens.
Ce que vous avez constaté est contradictoire avec la ligne 7. Ce devrait être un motif de rétractation certainement sans frais. L'habitat semble ne plus comporter d'alimentation en énergie électrique. S'il n'y a pas de coffret extérieur, c'est peut-être que la liaison est aérienne et que le coffret fusibles ERDF est à l'intérieur de l'habitat. A préciser.
Qu'il y ait des dangers sur l'installation électrique, c'est normal si l'habitat est ancien. Mais que dit le diagnostic concernant le disjoncteur de branchement, voire le compteur ?
Attendons les avis éclairés des amis CMT et MJD.
24 octobre 2012 à 22:14

Bonjour. Ça va être difficile, car il n'y a pas trop d'épaisseur disponible. Il faudrait traiter à la fois le plancher du dessus (et le revêtement de sol, le carrelage n'étant pas une bonne solution) et votre plafond. Mettre un faux plafond suspendu en plaques de plâtre acoustique avec une isolation de bonne épaisseur est toujours possible (à condition que l'ensemble fini ait une hauteur sous plafond standard de 2,5 m) ; il subsistera néanmoins tous les bruits transmis par la matière (et à voir les photos, c'est du très ancien - un grenier non habité à l'origine au dessus ?), les bruits aériens étant atténués, mais pas les plus gênants.
Votre voisin marche sur une peau de tambour et vous êtes à l'intérieur.
Il faudrait demander l'avis de professionnels expérimentés. Il y a d'excellents plaquistes spécialisés, mais peut-être davantage dans le neuf ; un architecte habitué à traiter l'habitat ancien pourrait envisager des solutions.
Autre solution si vous êtes jeune, dans vos murs, avec un peu d'euros disponibles ou à venir : acheter le haut si ce n'est fait et faire une réhabilitation d'ensemble. Des travaux lourds.
En attendant, vous pouvez consulter ce centre d'information sur le bruit dans l'habitat : bruit.fr tout sur les bruits isoler-son-logement
Votre voisin marche sur une peau de tambour et vous êtes à l'intérieur.
Il faudrait demander l'avis de professionnels expérimentés. Il y a d'excellents plaquistes spécialisés, mais peut-être davantage dans le neuf ; un architecte habitué à traiter l'habitat ancien pourrait envisager des solutions.
Autre solution si vous êtes jeune, dans vos murs, avec un peu d'euros disponibles ou à venir : acheter le haut si ce n'est fait et faire une réhabilitation d'ensemble. Des travaux lourds.
En attendant, vous pouvez consulter ce centre d'information sur le bruit dans l'habitat : bruit.fr tout sur les bruits isoler-son-logement
24 octobre 2012 à 20:16

Bonjour Biennaz. Il n'y a pas bousculade pour vous répondre.
On peut comprendre que vous (le maitre d’œuvre ? le maitre d'ouvrage ?) cherchez à économiser sur le diamètre des canalisations.
Un professionnel devrait effectuer l'installation conformément à un cahier des charges fourni par le cabinet responsable de la construction. C'est à ce document qu'il faut se référer ; si ce document précise que l’installation doit être réalisée conformément aux règles de l'art, c'est au professionnel qualifié de les mettre en œuvre.
La logique voudrait que la section des tubes corresponde au débit instantané maximum calculé, tous les points d'eau étant utilisés.
Cette installation est assez comparable au domaine domestique pour lequel les diamètres des tubes sont standards. Reste à évaluer la perte en ligne tolérable en fonction de la longueur.
D'autres avis devraient vous être proposés si un intervenant du métier passe par le forum.
On peut comprendre que vous (le maitre d’œuvre ? le maitre d'ouvrage ?) cherchez à économiser sur le diamètre des canalisations.
Un professionnel devrait effectuer l'installation conformément à un cahier des charges fourni par le cabinet responsable de la construction. C'est à ce document qu'il faut se référer ; si ce document précise que l’installation doit être réalisée conformément aux règles de l'art, c'est au professionnel qualifié de les mettre en œuvre.
La logique voudrait que la section des tubes corresponde au débit instantané maximum calculé, tous les points d'eau étant utilisés.
Cette installation est assez comparable au domaine domestique pour lequel les diamètres des tubes sont standards. Reste à évaluer la perte en ligne tolérable en fonction de la longueur.
D'autres avis devraient vous être proposés si un intervenant du métier passe par le forum.
24 octobre 2012 à 19:38

Bien reçu B. Bigot. Une précision concernant les moteurs.
Ici, il s'agit d'un moteur triphasé choisi pour sa simplicité de construction et d'alimentation ainsi que pour sa robustesse à toute épreuve.
Le moteur monophasé nécessite un condensateur alimentant une phase auxiliaire. Peut-être que d'autres projecteurs de cette marque pouvaient fonctionner en monophasé avec un moteur adapté.
Les deux types de moteurs sont sujet au glissement, le qualificatif asynchrone impliquant cette évidence : le rotor glisse par rapport à la vitesse de synchronisme, la fréquence de rotation dépend du couple résistant demandé sur l'arbre et n'est pas stable ; seul le moteur synchrone fonctionne au synchronisme.
Ces projecteurs devaient avoir une vitesse régulée par un artifice qu'on ne peut développer ici.
Sans plus de précisions, on ne voit pas comment un moteur 115 V peut résoudre votre problème.
Ici, il s'agit d'un moteur triphasé choisi pour sa simplicité de construction et d'alimentation ainsi que pour sa robustesse à toute épreuve.
Le moteur monophasé nécessite un condensateur alimentant une phase auxiliaire. Peut-être que d'autres projecteurs de cette marque pouvaient fonctionner en monophasé avec un moteur adapté.
Les deux types de moteurs sont sujet au glissement, le qualificatif asynchrone impliquant cette évidence : le rotor glisse par rapport à la vitesse de synchronisme, la fréquence de rotation dépend du couple résistant demandé sur l'arbre et n'est pas stable ; seul le moteur synchrone fonctionne au synchronisme.
Ces projecteurs devaient avoir une vitesse régulée par un artifice qu'on ne peut développer ici.
Sans plus de précisions, on ne voit pas comment un moteur 115 V peut résoudre votre problème.
24 octobre 2012 à 13:36

** Message privé **
Bonjour réponses 12 et 14.
La question est : ERDF a-t-il mandaté un sous-traitant pour effectuer le changement de l'équipement du point de livraison ?
Si oui, qui a reçu l’ordre d'exécution, dont le sous-traitant aura à rendre compte à ERDF, qui pourra alors rémunérer ce dernier.
Qu'à à voir l'abonné dans cette affaire ? Quelles ont été ses relations avec les intervenants, puisqu'il semble y en avoir plusieurs ? Avec ERDF, les ordres de service sont des documents écrits. Un client qui "s'occupe de tout" doit présenter les bons documents à ses interlocuteurs. N'importe qui ne peut intervenir sur le réseau ERDF, et notamment sur un point de livraison. La pose d'un compteur implique la programmation de celui-ci conformément au contrat souscrit par l'abonné. Cela est assuré par un technicien ERDF mandaté par le service commercial EDF.
Vos explications ne sont pas très claires. Votre situation semble ambigüe.
Pour ce qui concerne l'habilitation, celle-ci est normalement délivrée par un employeur. Dans votre cas, je ne sais pas qui est responsable de votre habilitation.
Le lecteur intéressé trouvera les définitions concernant l'habilitation sur ce document académique :
www.ac nancy metz.fr securite secu elec.pdf
La question est : ERDF a-t-il mandaté un sous-traitant pour effectuer le changement de l'équipement du point de livraison ?
Si oui, qui a reçu l’ordre d'exécution, dont le sous-traitant aura à rendre compte à ERDF, qui pourra alors rémunérer ce dernier.
Qu'à à voir l'abonné dans cette affaire ? Quelles ont été ses relations avec les intervenants, puisqu'il semble y en avoir plusieurs ? Avec ERDF, les ordres de service sont des documents écrits. Un client qui "s'occupe de tout" doit présenter les bons documents à ses interlocuteurs. N'importe qui ne peut intervenir sur le réseau ERDF, et notamment sur un point de livraison. La pose d'un compteur implique la programmation de celui-ci conformément au contrat souscrit par l'abonné. Cela est assuré par un technicien ERDF mandaté par le service commercial EDF.
Vos explications ne sont pas très claires. Votre situation semble ambigüe.
Pour ce qui concerne l'habilitation, celle-ci est normalement délivrée par un employeur. Dans votre cas, je ne sais pas qui est responsable de votre habilitation.
Le lecteur intéressé trouvera les définitions concernant l'habilitation sur ce document académique :
www.ac nancy metz.fr securite secu elec.pdf
24 octobre 2012 à 09:08

Bonjour Yourik.
Il est évident que votre réseau de terre est à vérifier sur l'ensemble des prises dont la 1 (connexion desserrée ou coupée).
Si vous ressentez des picotements sur le LV, cela provient d'un défaut de liaison à la terre de la machine.
La tension ressentie peut être induite et ce n'est pas dangereux, ou bien il s'agit d'un défaut d'isolement de la machine. La liaison à la terre étant rétablie, dans le premier cas le montage retrouvera un fonctionnement sécurisé, dans le deuxième un dispositif différentiel devrait déclencher. On espère que votre tableau est équipé de DDR 30 mA.
Il se pourrait que vous utilisiez un voltmètre numérique dont les indications sur les circuits "en l'air" sont sujettes à caution. On préfère les instruments analogiques ou les voltmètres à basse impédance d'entrée sur certains calibres V AC ; mais c'est plus cher.
Pour vérifier le réseau de terre, on peut mettre un ohmmètre entre la borne de terre du tableau et chaque broche de terre des PC - réseau domestique hors tension. Une simple "sonnette" peut faire l'affaire : pile 4,5 V + lampe 3,5 V + longs fils ; en gros une lampe de poche adaptée ; cela donne une très bonne indication visuelle de la liaison.
Il est évident que votre réseau de terre est à vérifier sur l'ensemble des prises dont la 1 (connexion desserrée ou coupée).
Si vous ressentez des picotements sur le LV, cela provient d'un défaut de liaison à la terre de la machine.
La tension ressentie peut être induite et ce n'est pas dangereux, ou bien il s'agit d'un défaut d'isolement de la machine. La liaison à la terre étant rétablie, dans le premier cas le montage retrouvera un fonctionnement sécurisé, dans le deuxième un dispositif différentiel devrait déclencher. On espère que votre tableau est équipé de DDR 30 mA.
Il se pourrait que vous utilisiez un voltmètre numérique dont les indications sur les circuits "en l'air" sont sujettes à caution. On préfère les instruments analogiques ou les voltmètres à basse impédance d'entrée sur certains calibres V AC ; mais c'est plus cher.
Pour vérifier le réseau de terre, on peut mettre un ohmmètre entre la borne de terre du tableau et chaque broche de terre des PC - réseau domestique hors tension. Une simple "sonnette" peut faire l'affaire : pile 4,5 V + lampe 3,5 V + longs fils ; en gros une lampe de poche adaptée ; cela donne une très bonne indication visuelle de la liaison.
24 octobre 2012 à 08:49

Bonjour.
La méthode de l'électricien serait d'alimenter ce moteur avec un petit variateur de fréquence alimenté en monophasé 230 V avec sortie triphasée 3×230 V, le stator du moteur asynchrone étant alors couplé en triangle. Il faudrait ensuite revoir le câblage de la machine. Pas infaisable si l'on est proche du métier.
L'autre solution est de confier l'appareil à un spécialiste des appareils de cinéma anciens capable de rénover cette machine, quitte à changer le moteur.
Il faudrait alors faire une recherche sur le net. On y trouve des passionnés possédant compétence et stocks de pièces détachées.
Vous pouvez également l'échanger avec un équivalent fonctionnant en monophasé, et dument révisé ; toujours auprès d'un passionné référencé sur le net.
La méthode de l'électricien serait d'alimenter ce moteur avec un petit variateur de fréquence alimenté en monophasé 230 V avec sortie triphasée 3×230 V, le stator du moteur asynchrone étant alors couplé en triangle. Il faudrait ensuite revoir le câblage de la machine. Pas infaisable si l'on est proche du métier.
L'autre solution est de confier l'appareil à un spécialiste des appareils de cinéma anciens capable de rénover cette machine, quitte à changer le moteur.
Il faudrait alors faire une recherche sur le net. On y trouve des passionnés possédant compétence et stocks de pièces détachées.
Vous pouvez également l'échanger avec un équivalent fonctionnant en monophasé, et dument révisé ; toujours auprès d'un passionné référencé sur le net.
23 octobre 2012 à 09:26

Bonjour réponse 12. Pour ce que j'en sais, tout intervenant sur le réseau ERDF, ne serait-ce qu'au niveau du point de livraison, doit être mandaté. Vous n'avez donc pas le droit de changer vous même les éléments du point de livraison sans ordre de service. De plus, vous devez posséder la qualification professionnelle et l'habilitation vous autorisant à effectuer ce genre de travaux.
Ce n'est pas le client qui devrait être ennuyé.
Vos descriptions ne sont pas claires : "l'installation est en tétra mono" ? - "...pour questions de responsabilités et papiers tout ce tralalala." ? - "...lors du passage d'EDF" ?
Des précisions seraient bienvenues.
Ce n'est pas le client qui devrait être ennuyé.
Vos descriptions ne sont pas claires : "l'installation est en tétra mono" ? - "...pour questions de responsabilités et papiers tout ce tralalala." ? - "...lors du passage d'EDF" ?
Des précisions seraient bienvenues.
22 octobre 2012 à 14:18

Bonjour. Le problème c'est qu'une carte électronique gère le fonctionnement du SL.
Vous n'échapperez pas au passage d'un SAV. Si l'appareil est récent, cela en vaut certainement la peine. Dans le cas contraire le choix est plus difficile. Tout ces appareils ne sont plus d'une robustesse à l'ancienne.
En attendant, il faut remettre en service les cordes à linge. C'est très économique.
A tout hasard, branchez le SL sur une autre prise. La mesure de tension peut être difficile à interpréter, même si le voltmètre indique 220 V.
Désolé de ne pouvoir vous aider davantage.
Vous n'échapperez pas au passage d'un SAV. Si l'appareil est récent, cela en vaut certainement la peine. Dans le cas contraire le choix est plus difficile. Tout ces appareils ne sont plus d'une robustesse à l'ancienne.
En attendant, il faut remettre en service les cordes à linge. C'est très économique.
A tout hasard, branchez le SL sur une autre prise. La mesure de tension peut être difficile à interpréter, même si le voltmètre indique 220 V.
Désolé de ne pouvoir vous aider davantage.
22 octobre 2012 à 09:20

** Message privé **
Bonjour Alban. Ce problème a déjà été évoqué sur le forum. Vous pourrez obtenir certains points de vue en tapant éclairage public dans le moteur de recherche.
Il faudrait vous assurer auprès de vos voisins directs qu'ils sont, ou non, sujet à cet incident.
Le contrôle de l'installation consiste à vérifier l'isolement de chaque candélabre ; il faut donc y passer du temps et avoir les appareils de mesure nécessaires. Si l'un présente une fuite à la terre, cela peut provoquer le déclenchement du différentiel en tête d'installation chez les abonnés très proches du candélabre en défaut.
Mais il n'y a rien d'absolu. Il faut affiner vos observations et réitérer une demande de vérification sérieuse du réseau d'éclairage public, et surtout de chaque candélabre.
Mais avant, assurez vous que le différentiel 30 mA n'est pas lui même en défaut. Que font les autres présents sur votre tableau de distribution ? On espère qu'il y en a plusieurs.
Il faudrait vous assurer auprès de vos voisins directs qu'ils sont, ou non, sujet à cet incident.
Le contrôle de l'installation consiste à vérifier l'isolement de chaque candélabre ; il faut donc y passer du temps et avoir les appareils de mesure nécessaires. Si l'un présente une fuite à la terre, cela peut provoquer le déclenchement du différentiel en tête d'installation chez les abonnés très proches du candélabre en défaut.
Mais il n'y a rien d'absolu. Il faut affiner vos observations et réitérer une demande de vérification sérieuse du réseau d'éclairage public, et surtout de chaque candélabre.
Mais avant, assurez vous que le différentiel 30 mA n'est pas lui même en défaut. Que font les autres présents sur votre tableau de distribution ? On espère qu'il y en a plusieurs.
21 octobre 2012 à 12:40

Bonjour. Il faut faire une mise à l'air de la canalisation d'évacuation des eaux usées. Normalement, cela est fait lors de l'installation. Sinon, le remède consiste à mettre un clapet au niveau de la conduite d'évacuation du lavabo salle de bain. C'est efficace. Mais il faut savoir le faire.
21 octobre 2012 à 11:31

Bonjour Tonton. Généralement les chauffe-eau d'évier sont livrés avec un robinet spécial permettant la chauffe sans risque. Ainsi, durant la chauffe, l'eau excédentaire s'évacue automatiquement goutte à goutte dans l'évier.
Vous faites au mieux avec la notice du produit sous les yeux.
Vous faites au mieux avec la notice du produit sous les yeux.
21 octobre 2012 à 10:26

Bonjour. Il est toujours possible de réaliser sans difficulté ce montage avec les composants choisis.
La notice du produit précise : "Relais Contacteurs Silencieux - Enclenchement progressif par temporisateurs". Il faudrait vous assurer que le délestage tout ou rien à l'ancienne est supporté par le système de commande de la chaudière.
On peut se demander néanmoins si vous avez fait le bon choix de la source chaude, car la consommation électrique à toute heure ne sera pas négligeable (vous ne pourrez pas compter que sur les heures creuses pour assurer la chauffe) ; d'autant plus que la chaudière étant en marche, avec 12 kVA il ne restera pas grand chose pour le gros électroménager. L'avantage est qu'un jour vous pourrez changer de générateur et mettre une chaudière à gaz.
Il se peut qu'à terme, il ne fasse pas bien chaud dans l'habitat - peut-être avez vous prévu des radiateurs de qualité avec une bonne inertie. On espère qu'il est bien isolé et ventilé. Et que la surface à chauffer est petite.
Des radiateurs modernes rayonnants à inertie pilotables par gestionnaire d'énergie avec délestage cascado-cyclique par action sur les fils pilote donnent de très bons résultats, avec une souplesse d'emploi et un bon confort.
D'autre part, il faut vous assurer de la qualité du SAV de la société et de la disponibilité des pièces - le site ne précise rien de précis, et ce peut être inquiétant. La vente par Internet a ses limites, surtout pour les objets technologiques.
Espérons que vous ne soyez pas amené à regretter pas votre choix.
D'autres avis devraient vous être proposés.
La notice du produit précise : "Relais Contacteurs Silencieux - Enclenchement progressif par temporisateurs". Il faudrait vous assurer que le délestage tout ou rien à l'ancienne est supporté par le système de commande de la chaudière.
On peut se demander néanmoins si vous avez fait le bon choix de la source chaude, car la consommation électrique à toute heure ne sera pas négligeable (vous ne pourrez pas compter que sur les heures creuses pour assurer la chauffe) ; d'autant plus que la chaudière étant en marche, avec 12 kVA il ne restera pas grand chose pour le gros électroménager. L'avantage est qu'un jour vous pourrez changer de générateur et mettre une chaudière à gaz.
Il se peut qu'à terme, il ne fasse pas bien chaud dans l'habitat - peut-être avez vous prévu des radiateurs de qualité avec une bonne inertie. On espère qu'il est bien isolé et ventilé. Et que la surface à chauffer est petite.
Des radiateurs modernes rayonnants à inertie pilotables par gestionnaire d'énergie avec délestage cascado-cyclique par action sur les fils pilote donnent de très bons résultats, avec une souplesse d'emploi et un bon confort.
D'autre part, il faut vous assurer de la qualité du SAV de la société et de la disponibilité des pièces - le site ne précise rien de précis, et ce peut être inquiétant. La vente par Internet a ses limites, surtout pour les objets technologiques.
Espérons que vous ne soyez pas amené à regretter pas votre choix.
D'autres avis devraient vous être proposés.
21 octobre 2012 à 10:19

Bonjour Gwen.
"Faut-il percer dans le trou de la serrure ou en dessous pour faire sauter la vis ?" Dans le barillet directement ; ensuite vous pourrez tourner le dispositif interne, les pistons ayant été détruits.
"Pensez-vous que c'est le genre de barillet standard qu'on trouve facilement en magasin ?" On peut le penser effectivement. Mais il existe des spécialistes des fermetures en tout genre qui pourront vous approvisionner. Les pages jaunes pourraient vous renseigner.
"Faut-il percer dans le trou de la serrure ou en dessous pour faire sauter la vis ?" Dans le barillet directement ; ensuite vous pourrez tourner le dispositif interne, les pistons ayant été détruits.
"Pensez-vous que c'est le genre de barillet standard qu'on trouve facilement en magasin ?" On peut le penser effectivement. Mais il existe des spécialistes des fermetures en tout genre qui pourront vous approvisionner. Les pages jaunes pourraient vous renseigner.
20 octobre 2012 à 10:08

Bonjour Yann. Extérieurement les produits Chutunic et autres tubes lisses sont identiques. D'autre part, cette matière (le PVC) est inerte. Si la contrainte mécanique longitudinale suite à la dilatation est très faible, ce qui est logique vu la matière et les quelques degrés de variation de température, on ne voit pas ce qui pourrait endommager le tube. Votre livre de référence semble le laisser prévoir.
Par sécurité et pour vous tranquilliser, vous pouvez toujours demander à un professionnel expérimenté, ou au service clients Nicoll.
Mais personnellement, j'encastrerais au ciment, au plâtre ou autre matière (sans encastrer de manchons bien entendu - donc en installant une longueur entière). Et je n'approvisionnerais pas le produit en GSB, mais chez les grands de la distribution de produits professsionnels.
D'autres avis devraient vous être proposés.
Par sécurité et pour vous tranquilliser, vous pouvez toujours demander à un professionnel expérimenté, ou au service clients Nicoll.
Mais personnellement, j'encastrerais au ciment, au plâtre ou autre matière (sans encastrer de manchons bien entendu - donc en installant une longueur entière). Et je n'approvisionnerais pas le produit en GSB, mais chez les grands de la distribution de produits professsionnels.
D'autres avis devraient vous être proposés.
20 octobre 2012 à 10:01

Bonjour Poulie. Le bruit violent que vous entendez se nomme coup de bélier. Un réducteur de pression en sortie de compteur d'eau peut résoudre ce problème. Le bruit de l'eau qui chauffe est normal, mais il y a des limites ; en général c'est assez diffus.
Assurez vous que le groupe de sécurité fonctionne bien (on ouvre la vidange plusieurs fois).
Si le chauffe-eau est très ancien, il faut s'attendre un jour ou l'autre à des désagréments très humides.
Si vous avez des inquiétudes, faites venir un professionnel.
D'autres avis pourront vous être proposés.
Assurez vous que le groupe de sécurité fonctionne bien (on ouvre la vidange plusieurs fois).
Si le chauffe-eau est très ancien, il faut s'attendre un jour ou l'autre à des désagréments très humides.
Si vous avez des inquiétudes, faites venir un professionnel.
D'autres avis pourront vous être proposés.
20 octobre 2012 à 09:42

Bonjour Patrice. A part changer le mitigeur s'il est impossible de le détartrer, à distance on ne peut pas envisager d'autre solution. La multiprise ne résoudra aucun problème. C'est comme le marteau dans de nombreux cas.
20 octobre 2012 à 09:36

Bonjour Yabri. La solution vous appartient. Vous pouvez toujours essayer de déconnecter la sortie du siphon et faire couler dans une cuvette. Ainsi, vous verrez s'il y a un problème de montage de votre siphon. Cela vous permettra également de vérifier l'écoulement en aval (un tuyau d'arrosage dedans et vous voyez si l'écoulement est normal). Vous adaptez ces vérifications à la configuration de l'installation : appartement ou maison individuelle, les précautions sont différentes.
20 octobre 2012 à 09:34

Bonsoir Sandra. L’agence a raison. Il faut que le robinet à obturation automatique intégrée (ROAI) soit accessible.
En tapant "emplacement robinet gaz" sur un moteur de recherches, on a les renseignements demandés, comme sur le site Banides
banides-debeaurain.fr/ : reglementation cuisson gaz naturel.pdf
De toute façon, l'installation doit être réalisée par un professionnel. Celui-ci vous sera de bon conseil.
En tapant "emplacement robinet gaz" sur un moteur de recherches, on a les renseignements demandés, comme sur le site Banides
banides-debeaurain.fr/ : reglementation cuisson gaz naturel.pdf
De toute façon, l'installation doit être réalisée par un professionnel. Celui-ci vous sera de bon conseil.
18 octobre 2012 à 22:25

Bonjour Yann.
Vous pouvez vous inspirer du système Chutunic Nicoll. Les tubes sont découplés du bâti avec des colliers isophoniques. Sinon, encastrer et sceller au plâtre sur quelques mètres (la hauteur d'un étage - un tube entier) ne pose pas de problème particulier, du moment que la dilatation en position haute et basse peut s'effectuer avec des manchons apparents, donc non scellés.
La documentation Nicoll ici : chutunic-nicoll.com
Vous pouvez vous inspirer du système Chutunic Nicoll. Les tubes sont découplés du bâti avec des colliers isophoniques. Sinon, encastrer et sceller au plâtre sur quelques mètres (la hauteur d'un étage - un tube entier) ne pose pas de problème particulier, du moment que la dilatation en position haute et basse peut s'effectuer avec des manchons apparents, donc non scellés.
La documentation Nicoll ici : chutunic-nicoll.com
18 octobre 2012 à 15:29

Bonjour Nico. Voir question 5230 qui traite un sujet identique.
Si la chauffe journalière se fait bien et que le débit est nul (c'est ce que l'on peut comprendre à vous lire - à préciser éventuellement), par intermittence chez vous, on peut incriminer également le groupe de sécurité. On rappelle que celui-ci doit être vérifié régulièrement (comme les interrupteurs différentiels), par action impulsionnelle sur le robinet de vidange, de façon à éviter l'entartrage.
Sur le tableau de répartition se trouve non un thermostat, mais un contacteur commandé par EDF pour la chauffe en HC.
La vidange est inutile.
A suivre.
Si la chauffe journalière se fait bien et que le débit est nul (c'est ce que l'on peut comprendre à vous lire - à préciser éventuellement), par intermittence chez vous, on peut incriminer également le groupe de sécurité. On rappelle que celui-ci doit être vérifié régulièrement (comme les interrupteurs différentiels), par action impulsionnelle sur le robinet de vidange, de façon à éviter l'entartrage.
Sur le tableau de répartition se trouve non un thermostat, mais un contacteur commandé par EDF pour la chauffe en HC.
La vidange est inutile.
A suivre.
18 octobre 2012 à 08:57

Bonjour Phil.
Ce peut être un peu tout cela à la fois. S'il n'y a pas de débit, on peu incriminer un bouchon dû au tartre. Tout d'abord, on suppose que le réducteur de pression est à l'arrivée d'eau.
Le fait que le groupe fuit montre qu'il est certainement encrassé et qu'un changement s'impose. Pour en avoir le cœur net, vous pouvez déjà l'enlever et voir si en sortie de chauffe-eau le débit est normal quand vous remettez le circuit sous pression. Cela nécessite quelques précautions pour ne pas inonder ce qui ressemble à un sous-sol.
Si le chauffe-eau est entartré, on peut le nettoyer en le démontant, mais au bout de 10 ans il a atteint son obsolescence programmée, et il vaut mieux en changer pour un modèle ACI +.
Si vous êtes bon bricoleur, le changement du groupe de sécurité n'est pas bien compliqué. Il faut juste quelques clés de bonne dimension et une pince multiprise, quelques joints, un peu de filasse. Et une grande cuvette.
Dans le cas contraire, votre plombier vous fera le changement en moins de temps qu'il faut pour l'écrire.
Donc dans l'ordre : le groupe, les tuyaux ou le chauffe-eau.
Si le groupe ne remplit pas sa fonction, le ballon risque d'être endommagé lors de la chauffe. Il y a donc urgence, avant une fuite générale.
Ce peut être un peu tout cela à la fois. S'il n'y a pas de débit, on peu incriminer un bouchon dû au tartre. Tout d'abord, on suppose que le réducteur de pression est à l'arrivée d'eau.
Le fait que le groupe fuit montre qu'il est certainement encrassé et qu'un changement s'impose. Pour en avoir le cœur net, vous pouvez déjà l'enlever et voir si en sortie de chauffe-eau le débit est normal quand vous remettez le circuit sous pression. Cela nécessite quelques précautions pour ne pas inonder ce qui ressemble à un sous-sol.
Si le chauffe-eau est entartré, on peut le nettoyer en le démontant, mais au bout de 10 ans il a atteint son obsolescence programmée, et il vaut mieux en changer pour un modèle ACI +.
Si vous êtes bon bricoleur, le changement du groupe de sécurité n'est pas bien compliqué. Il faut juste quelques clés de bonne dimension et une pince multiprise, quelques joints, un peu de filasse. Et une grande cuvette.
Dans le cas contraire, votre plombier vous fera le changement en moins de temps qu'il faut pour l'écrire.
Donc dans l'ordre : le groupe, les tuyaux ou le chauffe-eau.
Si le groupe ne remplit pas sa fonction, le ballon risque d'être endommagé lors de la chauffe. Il y a donc urgence, avant une fuite générale.
18 octobre 2012 à 08:28

Bonjour Margnata. Ce problème est intéressant.
Apparemment, ce produit doit être alimenté en permanence pour fonctionner.
La commande par fil pilote issu d'un gestionnaire d'énergie ou d'un programmateur spécialisé (et non par contact C1 C2 des compteurs anciens) permet d'assurer la chauffe automatique en HC et l'arrêt en HP (ainsi que la modulation du chauffage) ; la restitution peut être forcée grâce aux ventilateurs commandés par le thermostat interne.
En fonctionnement EJP l'appareil ne peut plus fonctionner, que ce soit en chauffe, ou pour la restitution finale par les ventilateurs.
Avec l'ancien, une entrée secteur auxiliaire (donc indépendante de l'EJP) devait permettre de faire fonctionner les ventilateurs pour la restitution de chaleur finale en l'absence du secteur présent à l'entrée puissance.
La notice commerciale (ne mentionnant pas la compatibilité avec le tarif EJP) : tradi fiche produit.pdf
La notice d'utilisation : accutradi 2 notice installation.pdf
Conclusion - sauf erreur : cet appareil ne peut pas restituer la chaleur accumulée lors de la dernière chauffe en EJP. Mais le plus sûr est de demander les détails au service clientèle Atlantic (téléphone ou courriel ou courrier).
Mais si c'est l'électronique qui commande les ventilateurs, c'est fichu. Avec le schéma détaillé sous les yeux on pourrait certainement voir ce qu'il en retourne. Mais les constructeurs ne les donnent pas.
Nota : de toute façon, en EJP, vous ne perdriez que la dernière restitution de chaleur. Ce n'est pas bien grave. Cela vaut-il la peine d'entreprendre des démarches ?
Merci de faire un retour d'informations si vous les obtenez.
Apparemment, ce produit doit être alimenté en permanence pour fonctionner.
La commande par fil pilote issu d'un gestionnaire d'énergie ou d'un programmateur spécialisé (et non par contact C1 C2 des compteurs anciens) permet d'assurer la chauffe automatique en HC et l'arrêt en HP (ainsi que la modulation du chauffage) ; la restitution peut être forcée grâce aux ventilateurs commandés par le thermostat interne.
En fonctionnement EJP l'appareil ne peut plus fonctionner, que ce soit en chauffe, ou pour la restitution finale par les ventilateurs.
Avec l'ancien, une entrée secteur auxiliaire (donc indépendante de l'EJP) devait permettre de faire fonctionner les ventilateurs pour la restitution de chaleur finale en l'absence du secteur présent à l'entrée puissance.
La notice commerciale (ne mentionnant pas la compatibilité avec le tarif EJP) : tradi fiche produit.pdf
La notice d'utilisation : accutradi 2 notice installation.pdf
Conclusion - sauf erreur : cet appareil ne peut pas restituer la chaleur accumulée lors de la dernière chauffe en EJP. Mais le plus sûr est de demander les détails au service clientèle Atlantic (téléphone ou courriel ou courrier).
Mais si c'est l'électronique qui commande les ventilateurs, c'est fichu. Avec le schéma détaillé sous les yeux on pourrait certainement voir ce qu'il en retourne. Mais les constructeurs ne les donnent pas.
Nota : de toute façon, en EJP, vous ne perdriez que la dernière restitution de chaleur. Ce n'est pas bien grave. Cela vaut-il la peine d'entreprendre des démarches ?
Merci de faire un retour d'informations si vous les obtenez.
17 octobre 2012 à 23:45

Bien reçu Didine.
Si vous voulez que ce soit correct au niveau peinture, il faut que le support soit lisse. Pour le médium c'est bon, mais ce me semble un peu mou pour servir de montant. Il se peut que les grandes planches flambent (de flambage). De plus, il faudra approvisionner de grandes surfaces et les couper ensuite, mais comment ? De plus, le médium est riche en formaldéhyde qu'il vaut mieux ne pas trop respirer.
Le contreplaqué ou le latté conviendraient, mais il va falloir les couper, les enduire, les poncer et les peindre. Vous pouvez les lasurer directement si vous voulez un aspect plus ou moins rustique (on peut dire brut). Pour l'aspect final, c'est vous qui voyez.
Le stratifié n'a pas à être peint s'il est couleur bois clair ou foncé (attention toutefois à la qualité - déjà signalé). De plus, il existe en planches de 30, 40, 50 et 60 cm en 2,5 m. Facile à couper à la circulaire de préférence guidée, ainsi qu'à l'égoïne neuve. A la scie sauteuse, en général on coupe de travers.
Un socle permet de bien matérialiser la bibliothèque par rapport au plancher.
Quant aux prix, il faut faire les magasins.
"Ya plus qu'à"
Si vous voulez que ce soit correct au niveau peinture, il faut que le support soit lisse. Pour le médium c'est bon, mais ce me semble un peu mou pour servir de montant. Il se peut que les grandes planches flambent (de flambage). De plus, il faudra approvisionner de grandes surfaces et les couper ensuite, mais comment ? De plus, le médium est riche en formaldéhyde qu'il vaut mieux ne pas trop respirer.
Le contreplaqué ou le latté conviendraient, mais il va falloir les couper, les enduire, les poncer et les peindre. Vous pouvez les lasurer directement si vous voulez un aspect plus ou moins rustique (on peut dire brut). Pour l'aspect final, c'est vous qui voyez.
Le stratifié n'a pas à être peint s'il est couleur bois clair ou foncé (attention toutefois à la qualité - déjà signalé). De plus, il existe en planches de 30, 40, 50 et 60 cm en 2,5 m. Facile à couper à la circulaire de préférence guidée, ainsi qu'à l'égoïne neuve. A la scie sauteuse, en général on coupe de travers.
Un socle permet de bien matérialiser la bibliothèque par rapport au plancher.
Quant aux prix, il faut faire les magasins.
"Ya plus qu'à"
16 octobre 2012 à 22:14

Bonjour Silvain. C'est l'UV TN04 de l'UTC ?
Vous pouvez vous inspirer des chalets Jeujura.
Vous pouvez vous inspirer des chalets Jeujura.
16 octobre 2012 à 15:43

Bien reçu Schuman.
"...cela fera double emploi avec le DJ moteur (+ ID)." Oui, c'est pour cela que vous allez choisir l'une ou l'autre des possibilités.
"...je vais jeter un œil sur les démarreurs mais YD ne sera pas possible (Aïe !) , le réseau est en 230/380V et la pompe en 380/660V". La plaque signalétique du moteur précise 380/660 V (ou 400/700 V si le moteur est récent). Cela signifie qu'aux bornes d'un enroulement, il doit y avoir en nominal 380 V. Or, le réseau est en 220/380 V, donc 380 V entre phases. Couplé en Y, il y aura 220 V aux bornes d'un enroulement, et en D, 380 V.
Conclusion : le démarrage YD est possible. Mais un démarreur statorique électronique serait d'un fonctionnement plus souple. On le shunte en fin de démarrage et c'est tout.
Et voilà. On a bien bossé sur ce projet.
"...cela fera double emploi avec le DJ moteur (+ ID)." Oui, c'est pour cela que vous allez choisir l'une ou l'autre des possibilités.
"...je vais jeter un œil sur les démarreurs mais YD ne sera pas possible (Aïe !) , le réseau est en 230/380V et la pompe en 380/660V". La plaque signalétique du moteur précise 380/660 V (ou 400/700 V si le moteur est récent). Cela signifie qu'aux bornes d'un enroulement, il doit y avoir en nominal 380 V. Or, le réseau est en 220/380 V, donc 380 V entre phases. Couplé en Y, il y aura 220 V aux bornes d'un enroulement, et en D, 380 V.
Conclusion : le démarrage YD est possible. Mais un démarreur statorique électronique serait d'un fonctionnement plus souple. On le shunte en fin de démarrage et c'est tout.
Et voilà. On a bien bossé sur ce projet.
16 octobre 2012 à 15:30

Bonjour Meline. Il faut suivre la notice de montage. Elle précise où l'on met les joints, plans ou coniques. En attendant, vous pouvez toujours faire une photo (nette) en précisant l'origine de la fuite et la joindre à un nouvel envoi.
Si l'on vous comprend un peu, ce que vous appelez entonnoir pourrait être la partie femelle du siphon sur laquelle s'emboite le tuyau d'évacuation. Il faut un joint conique sur la partie mâle. En serrant à la main l'écrou en forme de bague, l'étanchéité entre tuyau et entonnoir sera effective.
Si l'on vous comprend un peu, ce que vous appelez entonnoir pourrait être la partie femelle du siphon sur laquelle s'emboite le tuyau d'évacuation. Il faut un joint conique sur la partie mâle. En serrant à la main l'écrou en forme de bague, l'étanchéité entre tuyau et entonnoir sera effective.
16 octobre 2012 à 12:41

Bonjour Didine. Problème classique.
Cela se fait bien avec du stratifié de 18 mm. Il faut du vrai stratifié, et non des planches identiques avec décor papier collé. C'est très beau et moins cher, mais la surface est fragile. Si vous n'êtes pas outillé en scie circulaire, il faudra faire couper vos planches en GSB. Les coupes seront propres. Si l'on fait des coupes à la circulaire, on la guide avec une règle de maçon fixée sur la planche avec des serre-joints. Il vaut mieux scier dehors que dans l'habitat.
Il faut matérialiser la verticale de chacune des 3 planches avec un grand niveau (60 cm environ).
Vous pouvez fixer quelques tasseaux verticaux (15x15 ou 20x20) pour y plaquer les planches. On peut utiliser aussi des petites équerres, mais les aligner peut être délicat pour qui n'est pas habitué.
La fixation dans le mur supposé en placo nécessite des cheville Molly (des vraies) de 4 mm (cela suffit). Il faut une pince pour fixer ces chevilles. Pour ajuster la verticale, on fait des trous oblongs dans chaque tasseau et l'on met des rondelles larges sous les têtes de vis. De même, on ne perce pas tous les emplacements de cheville en même temps. En général on est déçu de l'alignement. Mais avec de l'habitude, on y arrive quand même. Vous faites au mieux.
Pour fixer les planches horizontales on fait pareil.
On peut utiliser du chant à coller avec un fer à repasser.
Il faudra soigner la perpendicularité des planches par rapport au mur.
On utilise des vis avec tête PZ1 ou 2. On fait un avant trou, et on fraise la place de la tête de vis.
Aucune vis ne doit dépasser à l'extérieur de la planche.
On peut envisager de monter l'ensemble sur une planche horizontale sur le plancher.
Il faut être patient et soigneux.
Cela se fait bien avec du stratifié de 18 mm. Il faut du vrai stratifié, et non des planches identiques avec décor papier collé. C'est très beau et moins cher, mais la surface est fragile. Si vous n'êtes pas outillé en scie circulaire, il faudra faire couper vos planches en GSB. Les coupes seront propres. Si l'on fait des coupes à la circulaire, on la guide avec une règle de maçon fixée sur la planche avec des serre-joints. Il vaut mieux scier dehors que dans l'habitat.
Il faut matérialiser la verticale de chacune des 3 planches avec un grand niveau (60 cm environ).
Vous pouvez fixer quelques tasseaux verticaux (15x15 ou 20x20) pour y plaquer les planches. On peut utiliser aussi des petites équerres, mais les aligner peut être délicat pour qui n'est pas habitué.
La fixation dans le mur supposé en placo nécessite des cheville Molly (des vraies) de 4 mm (cela suffit). Il faut une pince pour fixer ces chevilles. Pour ajuster la verticale, on fait des trous oblongs dans chaque tasseau et l'on met des rondelles larges sous les têtes de vis. De même, on ne perce pas tous les emplacements de cheville en même temps. En général on est déçu de l'alignement. Mais avec de l'habitude, on y arrive quand même. Vous faites au mieux.
Pour fixer les planches horizontales on fait pareil.
On peut utiliser du chant à coller avec un fer à repasser.
Il faudra soigner la perpendicularité des planches par rapport au mur.
On utilise des vis avec tête PZ1 ou 2. On fait un avant trou, et on fraise la place de la tête de vis.
Aucune vis ne doit dépasser à l'extérieur de la planche.
On peut envisager de monter l'ensemble sur une planche horizontale sur le plancher.
Il faut être patient et soigneux.
16 octobre 2012 à 11:34

Bonjour gvau. Voir les Questions apparentées dans le forum Électricité.
Le montage permutateur nécessite le passage de deux paires de navettes par permutateur (et le câblage dans chaque boitier peut être délicat si celui ci est peu profond).
Le montage avec télérupteur est préférable.
Le montage permutateur nécessite le passage de deux paires de navettes par permutateur (et le câblage dans chaque boitier peut être délicat si celui ci est peu profond).
Le montage avec télérupteur est préférable.
16 octobre 2012 à 11:12

Bonjour. Il faut que vous repériez le circuit des BP (2 fils bleu apparemment). Dans le Niko chaque BP est relié au neutre et à l'entrée commande. Dans l'actuel, chaque BP fait contact entre les bornes du haut.
Ce variateur n'a rien de particulier dans son principe, et est adapté pour les lampes à incandescence et non pour les convertisseurs électroniques.
Un bon montage télérupteur est plus fiable, d'autant plus que la gradation des sources lumineuses dans l'habitat est inutile, les variateurs étant la plupart du temps utilisés comme des interrupteurs.
A priori, il n'y a pas de raison de changer le variateur actuel ; il suffit de l'utiliser en direct sur des lampes à incandescence.
Ce variateur n'a rien de particulier dans son principe, et est adapté pour les lampes à incandescence et non pour les convertisseurs électroniques.
Un bon montage télérupteur est plus fiable, d'autant plus que la gradation des sources lumineuses dans l'habitat est inutile, les variateurs étant la plupart du temps utilisés comme des interrupteurs.
A priori, il n'y a pas de raison de changer le variateur actuel ; il suffit de l'utiliser en direct sur des lampes à incandescence.
16 octobre 2012 à 09:18

Bonjour. Vous câblez comme un circuit simple allumage dédié protégé par disjoncteur 10 ou 16 A. Suivant la zone ou sera ce bassin (piscine ?), vous serez obligé de faire un montage basse tension. Le choix du spot est également prépondérant vis à vis de l'environnement.
En fonction de la puissance installée et de la nature de la charge, vous serez peut-être obligé de relayer le contact de l'horloge, celui ci n'étant pas d'une robustesse extrême. Voir la notice Hager.
En fonction de la puissance installée et de la nature de la charge, vous serez peut-être obligé de relayer le contact de l'horloge, celui ci n'étant pas d'une robustesse extrême. Voir la notice Hager.
16 octobre 2012 à 09:02

Bonsoir Schuman.
Je pensais à une coupure générale.
Il serait préférable d'alimenter la pompe avec un DJ associé à son bloc Vigi. Il ne faudrait pas qu'un incident d'isolement sur n'importe quel autre récepteur coupe la pompe, et vice versa. Donc protection autonome de la pompe.
Le moteur de pompe mériterait quand même un démarreur, ne serait-ce que YD peu cher. Le réseau en amont pourra-t-il fournir cette intensité transitoire sans répercussion sur d'autres points de livraison ?
Pensez à l'éclairage de secours avec des blocs adaptés ATEX.
Votre projet est bien avancé.
Je pensais à une coupure générale.
Il serait préférable d'alimenter la pompe avec un DJ associé à son bloc Vigi. Il ne faudrait pas qu'un incident d'isolement sur n'importe quel autre récepteur coupe la pompe, et vice versa. Donc protection autonome de la pompe.
Le moteur de pompe mériterait quand même un démarreur, ne serait-ce que YD peu cher. Le réseau en amont pourra-t-il fournir cette intensité transitoire sans répercussion sur d'autres points de livraison ?
Pensez à l'éclairage de secours avec des blocs adaptés ATEX.
Votre projet est bien avancé.
16 octobre 2012 à 00:05

Bonjour SL77. Un avis rapide. D'après ce que vous écrivez précédemment, il semble qu'il y ait confusion entre ID et DJ.
Un ID déclenche en cas de défaut d'isolement, quel que soit le calibre du DJ en amont, Baco ou autre. Si le Consuel valide votre choix contrairement aux spécifications de la norme, il n'a pas raison.
Pour les détails, voir la contribution de CMT.
Un ID déclenche en cas de défaut d'isolement, quel que soit le calibre du DJ en amont, Baco ou autre. Si le Consuel valide votre choix contrairement aux spécifications de la norme, il n'a pas raison.
Pour les détails, voir la contribution de CMT.
15 octobre 2012 à 19:22

Bonjour. Un bon professionnel ne change pas un élément s'il n'a pas mis en évidence la défectuosité du produit, surtout un contacteur, appareil très facile à tester. Le gestionnaire d'énergie peut être vérifié également ; généralement un petit voyant rouge permanent indique qu'il reçoit la téléinformation issue du compteur électronique. Après, c'est plus difficile, mais pas infaisable.
Il y a erreur de diagnostic.
Affaire à suivre par votre électricien, ou un autre plus compétent.
Il y a erreur de diagnostic.
Affaire à suivre par votre électricien, ou un autre plus compétent.
15 octobre 2012 à 19:15

Bonjour Alex. Cette transformation n'a pas été prévue à la construction. On peut comprendre que déplacer la pieuvre (dont on peut penser qu'elle se trouve au niveau du plancher) consisterait à rallonger des conducteurs, donc à les couper pour mettre une boîte de dérivation à un autre endroit. Quoi que vous fassiez, il faut que toutes les connexions effectuées soient accessibles. On ne peut envisager de faire des connexions qui seraient ensuite inatteignables une fois les travaux effectués.
Ce peut être une tâche difficile pour qui est éloigné du métier, donc avec risque d'effectuer des connexions de mauvaise qualité pouvant engendrer des échauffements localisés. Et l'on connait les risques liés à l'échauffement des connexions.
En résumé, il faut que vous rallongiez cette pieuvre, avec obligation d'utiliser une voire deux boites de dérivation accessibles, encastrées dans une cloison ou le plafond.
Si vous ne pouvez faire ainsi, il faudra remplacer des conducteurs trop courts par des plus longs. Opération pouvant être rendue très difficile si les coudes de certaines gaines empêchent de remplacer des torons.
Ces travaux vont être définitifs. On ne peut penser que dans les combles, sous le plancher, se trouvent des dominos ou connecteurs rapides inaccessibles durant des dizaines d'années.
Il serait prudent de faire intervenir un électricien ; il pourra prendre les meilleures décisions en fonction de ce qu'il observera (avec connexions accessibles, on insiste) . Ce n'est pas du domaine de compétence du charpentier.
Ce peut être une tâche difficile pour qui est éloigné du métier, donc avec risque d'effectuer des connexions de mauvaise qualité pouvant engendrer des échauffements localisés. Et l'on connait les risques liés à l'échauffement des connexions.
En résumé, il faut que vous rallongiez cette pieuvre, avec obligation d'utiliser une voire deux boites de dérivation accessibles, encastrées dans une cloison ou le plafond.
Si vous ne pouvez faire ainsi, il faudra remplacer des conducteurs trop courts par des plus longs. Opération pouvant être rendue très difficile si les coudes de certaines gaines empêchent de remplacer des torons.
Ces travaux vont être définitifs. On ne peut penser que dans les combles, sous le plancher, se trouvent des dominos ou connecteurs rapides inaccessibles durant des dizaines d'années.
Il serait prudent de faire intervenir un électricien ; il pourra prendre les meilleures décisions en fonction de ce qu'il observera (avec connexions accessibles, on insiste) . Ce n'est pas du domaine de compétence du charpentier.
15 octobre 2012 à 08:19

Effectivement Il manque un contact de d'automaintien. Et un contact coup de poing arrêt d'urgence (S1).
Or, vous utilisez un contacteur tétrapolaire avec commande manuelle 040 70 (référence à vérifier).
Il faut rajouter un contact auxiliaire 040 85 avec un contact OF. Mais si le moteur est alimenté en tripolaire, vous pouvez utiliser un des 4 contacts à fermeture ; on s'adapte.
Vous pouvez vous inspirer de ce document de Daniel Tambrun : Daniel Tambrun
etude schema de commande.pdf
Le rôle de chaque composant est expliqué. Dans votre cas vous pouvez réaliser un circuit de commande en 230 V, bien que l'on préfère le 24 V pour la sécurité des personnes.
Le voyant de signalisation peut être exceptionnellement branché en parallèle avec la bobine de contacteur, bien que cela ne fasse pas partie des règles de l'art ; il est d'usage de protéger ce voyant avec un fusible.
Néanmoins, il est encore plus d'usage de commander le voyant avec un contact auxiliaire, or il est déjà utilisé pour l'automaintien. Il aurait fallu un contacteur autre que celui choisi permettant de mettre un bloc de contacts auxiliaires.
Vous verrez qu'une protection par sectionneur fusible avec contact de précoupure est prévue. De même, un relais thermique moteur est inclus.
Vous faites au mieux, en assurant la sécurité des personnes et du matériel.
On constate que le schéma utilise les symboles normalisés, le minimum pou un document pédagogique.
Vous voyez qu'il faudra adapter ce schéma en fonction des conditions locales, avec toujours à l'esprit la sécurité.
Or, vous utilisez un contacteur tétrapolaire avec commande manuelle 040 70 (référence à vérifier).
Il faut rajouter un contact auxiliaire 040 85 avec un contact OF. Mais si le moteur est alimenté en tripolaire, vous pouvez utiliser un des 4 contacts à fermeture ; on s'adapte.
Vous pouvez vous inspirer de ce document de Daniel Tambrun : Daniel Tambrun
etude schema de commande.pdf
Le rôle de chaque composant est expliqué. Dans votre cas vous pouvez réaliser un circuit de commande en 230 V, bien que l'on préfère le 24 V pour la sécurité des personnes.
Le voyant de signalisation peut être exceptionnellement branché en parallèle avec la bobine de contacteur, bien que cela ne fasse pas partie des règles de l'art ; il est d'usage de protéger ce voyant avec un fusible.
Néanmoins, il est encore plus d'usage de commander le voyant avec un contact auxiliaire, or il est déjà utilisé pour l'automaintien. Il aurait fallu un contacteur autre que celui choisi permettant de mettre un bloc de contacts auxiliaires.
Vous verrez qu'une protection par sectionneur fusible avec contact de précoupure est prévue. De même, un relais thermique moteur est inclus.
Vous faites au mieux, en assurant la sécurité des personnes et du matériel.
On constate que le schéma utilise les symboles normalisés, le minimum pou un document pédagogique.
Vous voyez qu'il faudra adapter ce schéma en fonction des conditions locales, avec toujours à l'esprit la sécurité.
14 octobre 2012 à 23:21

Bien reçu Stéphane.
En conclusion vous allez remettre des vis un peu plus grosses et de qualité. Pour repérer l'axe des lambourdes, vous pouvez vous fier à l'alignement des vis actuelles. On peut aussi matérialiser la largeur des lambourdes en perçant à 1,5 mm ou 2 mm jusqu’à ce que vous rencontriez la matière. Ensuite vous rebouchez les petits trous.
Pour enlever les plaques tel que je l'ai fait, et comme cela se présente de façon identique chez vous, il faut couper dans l'axe des lambourdes avec une circulaire guidée et avec profondeur de coupe juste suffisante pour ne pas entamer solive ou lambourde.
Je crois que cette solution très lourde et mangeuse de temps ne se justifie pas chez vous. Des vis en grande quantité devraient suffire. Il existe des boites de 200 ou 500 chez les distributeurs de produits professionnels. Une visseuse est nécessaire. On fait un avant trou et on fraise la place de la tête. On utilise un tournevis ou un embout PZ2.
Je suis satisfait des plaques d'isolation du parquet flottant, bien qu'approvisionnées chez Bricotruc. Elles se découpent au cutter.
Pour la pose des lames, vous revenez ici si vous avez un problème. Une circulaire avec une bonne lame est indispensable, L'égoïne s'use très vite, la lame de la circulaire aussi, mais c'est moins fatigant.
A vous de jouer.
En conclusion vous allez remettre des vis un peu plus grosses et de qualité. Pour repérer l'axe des lambourdes, vous pouvez vous fier à l'alignement des vis actuelles. On peut aussi matérialiser la largeur des lambourdes en perçant à 1,5 mm ou 2 mm jusqu’à ce que vous rencontriez la matière. Ensuite vous rebouchez les petits trous.
Pour enlever les plaques tel que je l'ai fait, et comme cela se présente de façon identique chez vous, il faut couper dans l'axe des lambourdes avec une circulaire guidée et avec profondeur de coupe juste suffisante pour ne pas entamer solive ou lambourde.
Je crois que cette solution très lourde et mangeuse de temps ne se justifie pas chez vous. Des vis en grande quantité devraient suffire. Il existe des boites de 200 ou 500 chez les distributeurs de produits professionnels. Une visseuse est nécessaire. On fait un avant trou et on fraise la place de la tête. On utilise un tournevis ou un embout PZ2.
Je suis satisfait des plaques d'isolation du parquet flottant, bien qu'approvisionnées chez Bricotruc. Elles se découpent au cutter.
Pour la pose des lames, vous revenez ici si vous avez un problème. Une circulaire avec une bonne lame est indispensable, L'égoïne s'use très vite, la lame de la circulaire aussi, mais c'est moins fatigant.
A vous de jouer.
14 octobre 2012 à 13:07

Bonjour Philippo. Ces appareils de commande de marque Legrand assurent les mêmes fonctions que ceux de la marque Télémécanique Schneider Electric. A partir de là, vous faites votre schéma de commande puis vous câblez.
Peut-être sera t-il utile de rajouter un relais spécifique de contrôle de pompe. De même, il existe des contacteurs moteurs adaptés. On dimensionne un contacteur en fonction de la cadence des séquences arrêt-marche, entre autres paramètres.
Le câblage en conducteurs souples implique l'usage d'embouts de câble.
Peut-être sera t-il utile de rajouter un relais spécifique de contrôle de pompe. De même, il existe des contacteurs moteurs adaptés. On dimensionne un contacteur en fonction de la cadence des séquences arrêt-marche, entre autres paramètres.
Le câblage en conducteurs souples implique l'usage d'embouts de câble.
14 octobre 2012 à 10:25

Bonjour. Ce n'est pas forcément très simple. On peut supposer que l'installation est triphasée, et qu'elle comporte des récepteurs triphasés équilibrés ou presque, et d'autres en monophasé.
Il faudra répartir ces derniers sur les 3 phases de façon à équilibrer au mieux.
Il faut faire une estimation de la puissance active consommée (en watts) par chaque récepteur et faire la somme, puis voir comment vous pouvez équilibrer.
Concernant les machines il faut la puissance absorbée, supérieure à la puissance utile.
Ensuite, vous estimerez la puissance apparente en kVA.
Cette méthode reste approximative si l'on ne connait pas avec exactitude les puissances active et réactive consommées par les machines, climatisation y comprise.
Il faudra une réserve, au cas où tous les récepteurs fonctionneraient en même temps. De même, la puissance transitoire au démarrage des machines doit également être estimée pour le dimensionnement du point de livraison.
Pour les scientifiques, on met en œuvre la méthode de Boucherot.
Il faudra répartir ces derniers sur les 3 phases de façon à équilibrer au mieux.
Il faut faire une estimation de la puissance active consommée (en watts) par chaque récepteur et faire la somme, puis voir comment vous pouvez équilibrer.
Concernant les machines il faut la puissance absorbée, supérieure à la puissance utile.
Ensuite, vous estimerez la puissance apparente en kVA.
Cette méthode reste approximative si l'on ne connait pas avec exactitude les puissances active et réactive consommées par les machines, climatisation y comprise.
Il faudra une réserve, au cas où tous les récepteurs fonctionneraient en même temps. De même, la puissance transitoire au démarrage des machines doit également être estimée pour le dimensionnement du point de livraison.
Pour les scientifiques, on met en œuvre la méthode de Boucherot.
14 octobre 2012 à 10:16

Bonjour Stéphane. Je rejoins les conclusions de MacBrico, voici pourquoi.
Je sors de ce problème qui m'occupe depuis pas mal de temps (plein) dans une maison dont l'étage n'avait jamais été aménagé. Un parquet sapin de qualité avait été cloué directement sur des solives, pas franchement de niveau en 1960. Et laissé en l'état sous toiture non isolée, avec quelques fuites.
L'opération a consisté à enlever le parquet, remplacer la laine de verre de 50 ans, mettre à niveau au mieux certaines solives en enlevant de la matière pour certaines, en rajouter pour d'autres (bandes de MAP recouvertes de gaffer noir large avec réalisation précise du niveau à la règle de maçon.
Ensuite pose des plaques OSB3 rainurées ajustées le plus serré possible, avec aucune jointure sans matière au dessous (en rajoutant autant de traverses que nécessaire). Toutes les plaques de 16 mm sont vissées avec des vis Rocket Pozidrive 5x50 mm tous les 35 cm environ (sans bande de désolidarisation). L'ensemble de la surface formée par les solives est sensiblement de niveau, la souplesse des plaques assurant un lissage des irrégularités éventuelles.
Chaque pièce a été traitée séparément, les cloisons ayant été montées sur le parquet ancien en début de travaux de réhabilitation. Beaucoup de découpes.
Ensuite, une sous couche de plaques de fibres vertes de 65x65 cm x 6mm environ, et pour finir, la pose d'un parquet stratifié clic d'origine belge, et collage des plinthes.
Et aucun grincement ni effet tambour.
Voila ce qui vous attend plus ou moins Stéphane si vous êtes bricoleur avec du temps disponible.
Il faudra certainement démonter quelques plaques (voir toutes) pour voir l'état du dessous (en espérant que des insectes xylophages n'y ont pas fait de séjour), et bien soigner leur fixation, et sans vide au pourtour des plaques (que du bois d'une manière ou d'une autre). Il faut vous assurer que l'environnement du sous plancher est sec. Vos vis semblent trop petites. Votre sous couche n'est pas de qualité, mais n'est pas la cause du grincement comme vous l'avez constaté.
Nota : entre temps j'ai posé un parquet clic avec face apparente bois de 2 mm environ collé sur stratifié (3 fois plus cher que le stratifié belge, et plus épais), sur plancher béton plan ragréé. D'origine, les lames accusaient une flèche de 1,3 cm environ. Malgré cela, la pose a été effectuée sur isolant souple noir assez dense, fait pour. Depuis, c'est très beau, mais le plancher est aérostable, et couine au passage (certainement au niveau du contact lames - isolant qui est mauvais à cause de la non planéité initiale des lames - l'assemblage de 16 m² n'a pas rigidifié l'ensemble comme espéré).
Le SAV du revendeur (bien connu des zones commerciales) de ce produit de grande marque française est saisi du problème.
Cordialement.
Je sors de ce problème qui m'occupe depuis pas mal de temps (plein) dans une maison dont l'étage n'avait jamais été aménagé. Un parquet sapin de qualité avait été cloué directement sur des solives, pas franchement de niveau en 1960. Et laissé en l'état sous toiture non isolée, avec quelques fuites.
L'opération a consisté à enlever le parquet, remplacer la laine de verre de 50 ans, mettre à niveau au mieux certaines solives en enlevant de la matière pour certaines, en rajouter pour d'autres (bandes de MAP recouvertes de gaffer noir large avec réalisation précise du niveau à la règle de maçon.
Ensuite pose des plaques OSB3 rainurées ajustées le plus serré possible, avec aucune jointure sans matière au dessous (en rajoutant autant de traverses que nécessaire). Toutes les plaques de 16 mm sont vissées avec des vis Rocket Pozidrive 5x50 mm tous les 35 cm environ (sans bande de désolidarisation). L'ensemble de la surface formée par les solives est sensiblement de niveau, la souplesse des plaques assurant un lissage des irrégularités éventuelles.
Chaque pièce a été traitée séparément, les cloisons ayant été montées sur le parquet ancien en début de travaux de réhabilitation. Beaucoup de découpes.
Ensuite, une sous couche de plaques de fibres vertes de 65x65 cm x 6mm environ, et pour finir, la pose d'un parquet stratifié clic d'origine belge, et collage des plinthes.
Et aucun grincement ni effet tambour.
Voila ce qui vous attend plus ou moins Stéphane si vous êtes bricoleur avec du temps disponible.
Il faudra certainement démonter quelques plaques (voir toutes) pour voir l'état du dessous (en espérant que des insectes xylophages n'y ont pas fait de séjour), et bien soigner leur fixation, et sans vide au pourtour des plaques (que du bois d'une manière ou d'une autre). Il faut vous assurer que l'environnement du sous plancher est sec. Vos vis semblent trop petites. Votre sous couche n'est pas de qualité, mais n'est pas la cause du grincement comme vous l'avez constaté.
Nota : entre temps j'ai posé un parquet clic avec face apparente bois de 2 mm environ collé sur stratifié (3 fois plus cher que le stratifié belge, et plus épais), sur plancher béton plan ragréé. D'origine, les lames accusaient une flèche de 1,3 cm environ. Malgré cela, la pose a été effectuée sur isolant souple noir assez dense, fait pour. Depuis, c'est très beau, mais le plancher est aérostable, et couine au passage (certainement au niveau du contact lames - isolant qui est mauvais à cause de la non planéité initiale des lames - l'assemblage de 16 m² n'a pas rigidifié l'ensemble comme espéré).
Le SAV du revendeur (bien connu des zones commerciales) de ce produit de grande marque française est saisi du problème.
Cordialement.
14 octobre 2012 à 00:28

Bien reçu Vivien.
"Mais un mitigeur ouvert à fond sur chaud n'agit-il pas comme un simple robinet d'eau chaude ?"
C'est ce que l'on pense généralement. J'en ai en attente de montage. Je vais souffler dedans cet am et vous dirai ensuite.
A distance, on ne voit pas pourquoi la vanne de sortie du ballon ouverte, l'eau chaude ne circulerait pas. Le problème s'est passé subitement ?
Bizarre bizarre.
"Mais un mitigeur ouvert à fond sur chaud n'agit-il pas comme un simple robinet d'eau chaude ?"
C'est ce que l'on pense généralement. J'en ai en attente de montage. Je vais souffler dedans cet am et vous dirai ensuite.
A distance, on ne voit pas pourquoi la vanne de sortie du ballon ouverte, l'eau chaude ne circulerait pas. Le problème s'est passé subitement ?
Bizarre bizarre.
13 octobre 2012 à 14:30

Bonjour Lia. La réponse à votre question est oui. Le chauffage dans le récipient ne sera pas homogène.
13 octobre 2012 à 09:16

Bonjour réponse 3.
Avec ce schéma Jimmy va pouvoir vérifier le câblage et le remettre à jour.
"La bobine de démarrage sera donc la mesure de la plus petite valeur"
Il semble y avoir une légère erreur concernant l'enroulement auxiliaire.
Généralement, il se peut que les deux bobinages n'aient pas une résistance identique.
Dans ce cas, le condensateur se met en série avec l'enroulement le plus résistant.
Si l'on appelle R1 la résistance de B1, et R2 la résistance de B2, B1 et B2 étant les enroulements auxiliaire et principal, on doit avoir R1 >= R2. Sauf erreur.
Les moteurs de lave-linge actuels ne fonctionnent pas suivant ce principe.
Cordialement
Avec ce schéma Jimmy va pouvoir vérifier le câblage et le remettre à jour.
"La bobine de démarrage sera donc la mesure de la plus petite valeur"
Il semble y avoir une légère erreur concernant l'enroulement auxiliaire.
Généralement, il se peut que les deux bobinages n'aient pas une résistance identique.
Dans ce cas, le condensateur se met en série avec l'enroulement le plus résistant.
Si l'on appelle R1 la résistance de B1, et R2 la résistance de B2, B1 et B2 étant les enroulements auxiliaire et principal, on doit avoir R1 >= R2. Sauf erreur.
Les moteurs de lave-linge actuels ne fonctionnent pas suivant ce principe.
Cordialement
13 octobre 2012 à 09:12

Bonjour réponse 3. Vous pouvez contacter ACOVA :
Service Conseils pour les PARTICULIERS : Tel 08 90 71 01 30 (N° Indigo 0,15 euro TTC/min)
Le site précise que le remplissage avec quantité calibrée est fait en usine.
Service Conseils pour les PARTICULIERS : Tel 08 90 71 01 30 (N° Indigo 0,15 euro TTC/min)
Le site précise que le remplissage avec quantité calibrée est fait en usine.
12 octobre 2012 à 17:52

Bonjour Vivien. A priori, non ; sauf s'il s'agit d'un mitigeur, thermostatique ou non.
Cela se produit-il sur tous les robinets eau chaude de l'habitat ? Assurez vous néanmoins que le robinet de sortie eau chaude du ballon ferme bien (et si ce n'est pas le cas, c'est de l'eau chaude et non froide qui devrait sortir.
Cela se produit-il sur tous les robinets eau chaude de l'habitat ? Assurez vous néanmoins que le robinet de sortie eau chaude du ballon ferme bien (et si ce n'est pas le cas, c'est de l'eau chaude et non froide qui devrait sortir.
12 octobre 2012 à 17:41

"le robinet du chauffe eau est coincé"
De là vient peut-être le problème. Le groupe de sécurité étant entartré et bloqué, il ne peut alors plus évacuer l'eau excédentaire sous pression durant la chauffe. Comme on sait que les liquides sont incompressibles, l'eau a choisi un point faible pour s'évacuer ; peut-être au niveau du joint de fond de cuve. S'il n'est pas trop vieux, ce chauffe-eau pourrait être récupérable, sauf s'il est vraiment dégradé.
Pour évacuer le chauffe-eau à l'horizontale sans trop se faire mal au dos, on peut utiliser un plateau à roulettes robuste.
De là vient peut-être le problème. Le groupe de sécurité étant entartré et bloqué, il ne peut alors plus évacuer l'eau excédentaire sous pression durant la chauffe. Comme on sait que les liquides sont incompressibles, l'eau a choisi un point faible pour s'évacuer ; peut-être au niveau du joint de fond de cuve. S'il n'est pas trop vieux, ce chauffe-eau pourrait être récupérable, sauf s'il est vraiment dégradé.
Pour évacuer le chauffe-eau à l'horizontale sans trop se faire mal au dos, on peut utiliser un plateau à roulettes robuste.
12 octobre 2012 à 16:40

Bonjour. On ne peut pas savoir dans l'absolu. Mais si vous fermez l'arrivée d'eau, il n'y aura plus d'écoulement (il faudra ouvrir un robinet d'eau chaude pour mettre le circuit correspondant à la pression atmosphérique, puis le fermer durant le WE). De même, il faudra couper l'alimentation électrique.
Puis il faudra vidanger le chauffe-eau et le mettre dehors. Ce n'est pas une opération facile, vu le poids dont l'eau restante et l'encombrement. Il faudra boucher arrivée et départ d'eau du cumulus pour éviter d’inonder le local moquetté.
Et pour terminer voir d'où vient la fuite et réparer (avec les risques que cela comporte), ou changer pour un modèle ACI +.
Puis il faudra vidanger le chauffe-eau et le mettre dehors. Ce n'est pas une opération facile, vu le poids dont l'eau restante et l'encombrement. Il faudra boucher arrivée et départ d'eau du cumulus pour éviter d’inonder le local moquetté.
Et pour terminer voir d'où vient la fuite et réparer (avec les risques que cela comporte), ou changer pour un modèle ACI +.
12 octobre 2012 à 15:50

Bonjour Jimmy. Vu d'ici, on ne peut pas savoir. Par contre, en tapant branchement condensateur moteur dans le moteur de recherche, on arrive à la question 10908 qui traite ce sujet, avec des liens pouvant vous être utiles.
Vous avez déjà approvisionné un condensateur ?
Il semble que le bleu horizontal soit le neutre du secteur. Dans ce cas, vous pouvez brancher les deux bleus ensemble et tenter une mise sous tension rapide, quitte à ce qu'une protection déclenche.
Avec un peu de chance, le moteur pourrait tourner. Mais c'est juste une idée en passant. Il faudrait être sur place et faire quelques relevés. De la carcasse moteur, il doit sortir 3 ou 4 fils.
Le vendeur vous a fait un cadeau empoisonné si vous êtes éloigné du métier.
Vous avez déjà approvisionné un condensateur ?
Il semble que le bleu horizontal soit le neutre du secteur. Dans ce cas, vous pouvez brancher les deux bleus ensemble et tenter une mise sous tension rapide, quitte à ce qu'une protection déclenche.
Avec un peu de chance, le moteur pourrait tourner. Mais c'est juste une idée en passant. Il faudrait être sur place et faire quelques relevés. De la carcasse moteur, il doit sortir 3 ou 4 fils.
Le vendeur vous a fait un cadeau empoisonné si vous êtes éloigné du métier.
12 octobre 2012 à 15:40
